Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
C'est Catherine Lara qui rythme les premières pages de ce roman, narquois et doux requiem érotique pour une société défunte. " Babylone, c'est la...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
C'est Catherine Lara qui rythme les premières pages de ce roman, narquois et doux requiem érotique pour une société défunte. " Babylone, c'est la fête au château
On va enfin changer de peau Les masques sont de trop
Ils n'auront pas le dernier mot. " Le jour où Carla déguise son petit frère Carlos en jeune femme, elle ignore qu'elle le pousse vers la perspective la plus importante de sa vie : " En tout cas, il faut le dire, rien au monde n'avait produit sur et en moi un effet comparable à celui qui résulta de cette vaine attente, l'attente du pays d'Oscar Wilde. " Elle ignore aussi qu'il rencontrera Antonio, qui berce sa mère au son de sa voix : " Il se pencha sur elle et, comme d'habitude, c'est lui qui chanta pour l'endormir. Et, comme d'habitude, pénétrée par cette voix devenue sa richesse depuis des années, elle s'endormit. " Elle ignore
enfin qu'il va s'enchanter de sa propre mort : " Sa décision de me tuer me réjouit donc, et, si je m'étais tué moi-même, comme je l'aurais frustré, cet enfant ! " Un savoureux badinage au cœur du crime.
Sami Tchak, écrivain d'origine togolaise, qui vit en France depuis novembre 1986, nous donne, avec La fête des masques, une suite romanesque de son pessimisme joyeux.
À propos de l'auteur
Biographie de Sami Tchak
Sami Tchak, écrivain d'origine togolaise, qui vit en France depuis le 2 novembre 1986, nous donne, avec La fête des masques, une suite romanesque de son pessimisme joyeux.