La ferme Améziane. Enquête sur un centre de torture pendant la guerre d'Algérie

Par : Jean-Luc Einaudi
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  • Nombre de pages117
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.168 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-7384-0944-X
  • EAN9782738409447
  • Date de parution01/03/1991
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La torture est la grande et dérangeante question de la guerre d'Algérie. Sous la Quatrième puis sous la Cinquième République, elle fut pratiquée par des policiers et des militaires français. Ses techniques furent enseignées. Elle fut institutionnalisée, avec ses lieux de détention spécialisés. Elle devint la méthode courante de recherche du renseignement. Inévitablement, cela mena à la barbarie. Cependant, la France officielle nia son existence, continuant à afficher à la face du monde sa prétention à être le porte-parole des droits de l'homme.
L'auteur a enquêté sur ce qui fut l'un des plus importants et des plus terribles centres de torture que connut l'Algérie : la ferme Améziane, à Constantine. Un tribunal français a jugé et condamné le gestapiste Klaus Barbie. C'est justice. Mais le commandant de la ferme Améziane ne comparut jamais devant un quelconque tribunal. Il poursuivit, au contraire, sa carrière d'officier dans l'armée française.
Les souffrances et la mort des victimes françaises de Klaus Barbie étaient-elles différentes des souffrances et de la mort des victimes algériennes du commandant Rodier ?
La torture est la grande et dérangeante question de la guerre d'Algérie. Sous la Quatrième puis sous la Cinquième République, elle fut pratiquée par des policiers et des militaires français. Ses techniques furent enseignées. Elle fut institutionnalisée, avec ses lieux de détention spécialisés. Elle devint la méthode courante de recherche du renseignement. Inévitablement, cela mena à la barbarie. Cependant, la France officielle nia son existence, continuant à afficher à la face du monde sa prétention à être le porte-parole des droits de l'homme.
L'auteur a enquêté sur ce qui fut l'un des plus importants et des plus terribles centres de torture que connut l'Algérie : la ferme Améziane, à Constantine. Un tribunal français a jugé et condamné le gestapiste Klaus Barbie. C'est justice. Mais le commandant de la ferme Améziane ne comparut jamais devant un quelconque tribunal. Il poursuivit, au contraire, sa carrière d'officier dans l'armée française.
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