Deux hommes sont assis près d'une fenêtre, un soir serein de printemps. L'un parle : "Je regarde les passants et je me regarde dans leurs yeux... " et ce long monologue, écrit en 1959, est à la fois l'évocation d'une vie, et une ode familière au peuple grec.
Deux hommes sont assis près d'une fenêtre, un soir serein de printemps. L'un parle : "Je regarde les passants et je me regarde dans leurs yeux... " et ce long monologue, écrit en 1959, est à la fois l'évocation d'une vie, et une ode familière au peuple grec.