La femme rurale dans l'exploitation familiale, nord-ouest de la Tunisie : pour une sociologie des ruptures
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- Nombre de pages538
- PrésentationBroché
- Poids0.855 kg
- Dimensions1,6 cm × 2,4 cm × 0,3 cm
- ISBN2-7475-4910-0
- EAN9782747549103
- Date de parution01/01/2003
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Elle se manifeste sous la forme d'une double riposte, à la fois symbolique et de subsistance. La riposte par le sol est une manière de tirer de la terre le maximum de denrées et de ressources. La riposte par le sang consiste en la mobilisation du système de parenté dans l'organisation du travail. En filigrane, c'est de sociologie de l'action qu'il s'agit. Ici, individu et communauté coopèrent, et ne sont pas antinomiques, enrichissant, de la sorte, les approches de la négociation sociale.
La posture adoptée est celle d'une littérature du réel soumise à la description au ras du sol. Elle revendique l'empirique comme un socle de base incontournable, loin des rationalisations réductrices de la sociologie positive. L'ethnologie, l'anthropologie, la psychanalyse et la philosophie, sont mises à contribution, dans un travail transdisciplinaire, pour traiter du collectif en situation de rupture.
Les questions actuelles, sur le développement local, le genre, la gouvernance, la mondialisation, les rapports nord-sud sont abordées dans le vif du sujet. En somme, un ouvrage dans lequel l'engagement de l'auteur dans les débats de son époque, ne le cède en rien à son souci de rigueur scientifique.
Elle se manifeste sous la forme d'une double riposte, à la fois symbolique et de subsistance. La riposte par le sol est une manière de tirer de la terre le maximum de denrées et de ressources. La riposte par le sang consiste en la mobilisation du système de parenté dans l'organisation du travail. En filigrane, c'est de sociologie de l'action qu'il s'agit. Ici, individu et communauté coopèrent, et ne sont pas antinomiques, enrichissant, de la sorte, les approches de la négociation sociale.
La posture adoptée est celle d'une littérature du réel soumise à la description au ras du sol. Elle revendique l'empirique comme un socle de base incontournable, loin des rationalisations réductrices de la sociologie positive. L'ethnologie, l'anthropologie, la psychanalyse et la philosophie, sont mises à contribution, dans un travail transdisciplinaire, pour traiter du collectif en situation de rupture.
Les questions actuelles, sur le développement local, le genre, la gouvernance, la mondialisation, les rapports nord-sud sont abordées dans le vif du sujet. En somme, un ouvrage dans lequel l'engagement de l'auteur dans les débats de son époque, ne le cède en rien à son souci de rigueur scientifique.