Il y a moins d’un an, les Tunisiens faisaient tomber leur
régime, entraînant dans leur sillage ce que l’on a appelé le
printemps arabe. Avec l’automne et les premières
consultations populaires, on a vu arriver en tête Ennhada, le
parti islamiste. Sans vouloir tirer de jugements trop hâtifs, les
premières victimes de cette orientation religieuse pourraient
bien être les femmes.
Il y a moins d’un an, les Tunisiens faisaient tomber leur
régime, entraînant dans leur sillage ce que l’on a appelé le
printemps arabe. Avec l’automne et les premières
consultations populaires, on a vu arriver en tête Ennhada, le
parti islamiste. Sans vouloir tirer de jugements trop hâtifs, les
premières victimes de cette orientation religieuse pourraient
bien être les femmes.