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  • Nombre de pages377
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.595 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-7144-4190-4
  • EAN9782714441904
  • Date de parution03/05/2007
  • CollectionLittérature étrangère
  • ÉditeurBelfond
  • TraducteurBernard Cohen

Résumé

Il y a encore quelques mois, Harry Ricks était professeur dans une université américaine et menait une vie tranquille avec sa femme et sa fille. Aujourd'hui, Harry survit tout juste dans une chambre de bonne crasseuse à Paris, au fin fond du Xe arrondissement, et n'a plus aucun contact avec sa famille. Alors qu'il croit toucher le fond, la passion fait irruption dans sa vie : elle s'appelle Margit, elle est hongroise et sensuelle. Et très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son travail, son passé, sa vie, et ne pourra la voir que deux fois par semaine, à dix-sept heures, dans son appartement du Ve. Comme envoûté, Harry accepte. Mais bientôt se produisent autour de lui d'étranges coïncidences... Un nouveau cauchemar savamment orchestré par un Douglas Kennedy plus machiavélique que jamais. Un roman noir surprenant dans un Paris inattendu et crépusculaire hanté par les ombres de Simenon et Buñuel.
Il y a encore quelques mois, Harry Ricks était professeur dans une université américaine et menait une vie tranquille avec sa femme et sa fille. Aujourd'hui, Harry survit tout juste dans une chambre de bonne crasseuse à Paris, au fin fond du Xe arrondissement, et n'a plus aucun contact avec sa famille. Alors qu'il croit toucher le fond, la passion fait irruption dans sa vie : elle s'appelle Margit, elle est hongroise et sensuelle. Et très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son travail, son passé, sa vie, et ne pourra la voir que deux fois par semaine, à dix-sept heures, dans son appartement du Ve. Comme envoûté, Harry accepte. Mais bientôt se produisent autour de lui d'étranges coïncidences... Un nouveau cauchemar savamment orchestré par un Douglas Kennedy plus machiavélique que jamais. Un roman noir surprenant dans un Paris inattendu et crépusculaire hanté par les ombres de Simenon et Buñuel.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.9/5
sur 49 notes dont 3 avis lecteurs
J ai adore !
J aime beaucoup le style d ecriture de d kennedy. Le livre est un melange de reve et de realite, mais la subtilite reste à deviner où commence le rêve et où fait suite la réalité .... Il faut persēvērer dans la leçture de ce roman et la chute est sensationnelle !!!!
J aime beaucoup le style d ecriture de d kennedy. Le livre est un melange de reve et de realite, mais la subtilite reste à deviner où commence le rêve et où fait suite la réalité .... Il faut persēvērer dans la leçture de ce roman et la chute est sensationnelle !!!!
  • XXe siècle
  • Paris
  • Intriguant
je n'ai pas du tout aimé
Autant, j'ai dévoré "La poursuite du Bonheur" du même auteur. Autant, celui-ci m'a laissé indifférente. Je ne le recommande pas du tout.
Autant, j'ai dévoré "La poursuite du Bonheur" du même auteur. Autant, celui-ci m'a laissé indifférente. Je ne le recommande pas du tout.
Femme fatale
Harry Ricks fuit les États-Unis après un scandale qui lui a coûté son emploi, sa réputation et sa famille. Il se réfugie à Paris, où il survit dans des quartiers mal famés, accepte un job louche sans poser de questions, et écrit un roman. Jusqu’au jour où il rencontre une femme unique et fascinante, et tombe sous son charme. J’aime quand un roman me raconte une histoire, sans prétention ou jeux de langue inutiles, suffisamment bien imbriquée pour que poser le livre devienne difficile. Douglas Kennedy y réussit parfaitement, dans ce roman mi-policier mi-fantastique, glauque et poisseux comme un roman noir des années 30.
Harry Ricks fuit les États-Unis après un scandale qui lui a coûté son emploi, sa réputation et sa famille. Il se réfugie à Paris, où il survit dans des quartiers mal famés, accepte un job louche sans poser de questions, et écrit un roman. Jusqu’au jour où il rencontre une femme unique et fascinante, et tombe sous son charme. J’aime quand un roman me raconte une histoire, sans prétention ou jeux de langue inutiles, suffisamment bien imbriquée pour que poser le livre devienne difficile. Douglas Kennedy y réussit parfaitement, dans ce roman mi-policier mi-fantastique, glauque et poisseux comme un roman noir des années 30.
  • XXIe siècle
  • Paris
  • France
Douglas Kennedy

Le célèbre écrivain new-Yorkais, Douglas Kennedy, s’est fait connaître dans le monde entier grâce à des œuvres romanesques de grande envergure. Ses livres ont reçu de nombreuses récompenses et fait l’objet d’adaptations cinématographiques lui ayant ouvert le cœur du grand public. Mais le parcours de cet écrivain n’a pas toujours été auréolé de succès. Retour sur la vie et l’itinéraire d’un auteur immensément talentueux.


Douglas Kennedy, écrivain à la conquête de sa plume


Né en 1955 à New York dans une famille aisée, le jeune Douglas suit des études à la Collegiate School. Après un saut d’un an à Dublin pour achever sa formation, il revient dans son pays natal. Il occupe le poste de régisseur dans divers théâtres de Broadway, alors centre névralgique de la scène new-yorkaise. En 1977, tandis qu’il rend visite à des amis en Irlande, il décide d’y rester définitivement.

À Dublin, il crée une compagnie théâtrale, puis administre la section expérimentale du National Theatre of Ireland de 1978 à 1983. Cette période sera le terreau créatif qui lui insuffle, plus forte que jamais, l’envie d’écrire. Ses responsabilités l’occupent toute la journée, c’est donc durant la nuit qu’il laisse libre cours à sa passion dévorante pour l’écriture. Douglas Kennedy compose d’abord des pièces de théâtre radiophoniques diffusées en Angleterre, en Irlande ainsi qu’en Australie.

Dès 1983, il comprend que sa vie sera consacrée à la littérature, ou ne sera pas. Ainsi, il quitte le théâtre national d’Irlande, et, en parallèle de ses créations théâtrales, est journaliste indépendant pour l’Irish Times. Il y travaille régulièrement de 1984 à 1986, année où l’on joue sa première pièce destinée à la scène. C’est un fiasco en règle, qui lui vaut même de ne plus écrire pour le grand quotidien irlandais. Mais Douglas Kennedy a la peau dure et n’est pas de ceux qui abandonnent au premier échec...


Le déménagement à Londres et l’heure de la reconnaissance


Nous sommes en 1988, l’auteur vit à présent à Londres, où il se consacre pleinement à l’écriture de son premier livre. Ce récit de voyage intitulé « Au-delà des pyramides » lui vaut d’être édité et bien reçu par la critique littéraire. Il en ira de même pour les deux ouvrages édités ensuite. Sa carrière de journaliste freelance s’est, elle aussi, joliment développée. Douglas Kennedy est en train de se faire un nom dans le monde des lettres.

1994 marquera un tournant décisif, l’écrivain publie son premier roman « Cul de sac », un thriller percutant qui sera adapté au cinéma en 1997 par le grand Stephan Elliott.

Trois ans plus tard, ce sera au tour du roman « L’Homme qui voulait vivre sa vie » d’impressionner les maisons d’édition et le lectorat. Cet ouvrage brillant traite des aspirations profondes de l’esprit humain, des pièges d’une existence bien rangée et de la possibilité, toujours, de refaire sa vie… Mais à quel prix ? Ces thèmes, redondants dans ses intrigues romanesques, percutent directement l’âme des lecteurs qui en redemandent. Cette création originale sera une réussite littéraire, puisque le livre se hissera parmi les meilleures ventes de l’année. L’adaptation cinématographique, par le français Éric Lartigau, sera un phénomène mondial. L’auteur américain, d’abord boudé par la critique, est soudain courtisé par toutes les maisons d’édition du monde. La carrière de Douglas Kennedy explose enfin.

Lui succède en 1998 le troublant roman « Le Désarroi de Ned Allen », qui connaît lui aussi un succès international. S’ensuivront d’autres bijoux littéraires comme « Une relation dangereuse » en 2003 ou encore « Au pays de Dieu » en 2004, qui seront également très bien accueillis par les critiques.

Le romancier vit aujourd’hui entre Londres, Wisscasset, Berlin et Paris, où il adore pratiquer le français dans lequel il excelle.


Les prix et distinctions des livres de Douglas Kennedy : une généreuse consécration


Le parcours artistique de Douglas Kennedy n’a pas manqué d’obstacles et de rebondissements. L’adversité lui a permis de faire germer un style unique et d’aiguiser une plume irrésistiblement acerbe et ironique. Grâce à son regard piquant sur le monde et sa façon de disséquer tant les rouages de la société que ceux de la psyché humaine, Douglas Kennedy s’impose comme un des plus grands auteurs contemporains.

Le romancier a reçu plusieurs prix lui rendant hommage. Parmi eux, le « WH Smith Thumping Good Read Award » en 1998, pour « L’homme qui voulait vivre sa vie » ou encore le prix littéraire Lucien-Barrière en 2003 pour « Rien ne va plus ».

En 2006, honneur suprême, il est sacré « Chevalier des Arts et des lettres ». Cette distinction française récompense les artistes contribuant au « rayonnement des arts et des lettres dans le monde », rien de moins.

Puis, ultime consécration en 2009, quand le Figaro lui remet un grand prix pour honorer l’ensemble de son œuvre. Aujourd’hui, chaque sortie de livre de D.Kennedy est un événement littéraire qui provoque systématiquement la vente de millions d’exemplaires.


Douglas Kennedy, le parrain des nouveaux auteurs


En tant que grand écrivain, Douglas Kennedy revêt également la casquette de parrain honorifique pour des prix littéraires permettant de mettre en lumière de jeunes auteurs méconnus.

Parmi eux, le Prix VSD RTL du « meilleur thriller étranger » qui récompense entre autres « Notre petit secret » de Roz Nay ou encore « Le Livre des choses cachées » de Francisco Dimitri.

Et vous, quel est le roman de Douglas Kennedy qui vous a bouleversé ?

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