La femme dans la Grèce antique

Par : Claude Mossé

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-226-20879-8
  • EAN9782226208798
  • Date de parution01/03/2014
  • CollectionL'aventure humaine
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

La condition de la femme dans la Grèce ancienne ? Voilà une question à laquelle il n'est pas aisé de répondre. D'un côté, des noms de femmes grecques célèbres dans le mythe ou l'histoire, Hélène, Pénélope, Antigone, Médée, mais aussi Aspasie, la compagne de Périclès, la courtisane Phrynée, modèle du sculpteur Praxitèle, Diotime l'étrangère de Mantinée, l'interlocutrice de Socrate dans Le Banquet de Platon.
De l'autre, un monde dominé par les valeurs viriles, celles du héros de l'épopée comme celles du citoyen-soldat de la cité, et, lié à ces valeurs, le fameux "amour grec" qui reléguerait la femme au simple rôle de reproductrice. C'est de cette ambiguïté qu'on a tenté de rendre compte, en évitant de tomber dans le piège de "l'éternel féminin", mais en se gardant aussi de tout "féminisme militant" qui ne mettrait en lumière que les aspects négatifs de cette condition.
Une condition qu'éclaire la nature même des sociétés grecques, autant que le regard que ces sociétés portaient sur elles-mêmes.
La condition de la femme dans la Grèce ancienne ? Voilà une question à laquelle il n'est pas aisé de répondre. D'un côté, des noms de femmes grecques célèbres dans le mythe ou l'histoire, Hélène, Pénélope, Antigone, Médée, mais aussi Aspasie, la compagne de Périclès, la courtisane Phrynée, modèle du sculpteur Praxitèle, Diotime l'étrangère de Mantinée, l'interlocutrice de Socrate dans Le Banquet de Platon.
De l'autre, un monde dominé par les valeurs viriles, celles du héros de l'épopée comme celles du citoyen-soldat de la cité, et, lié à ces valeurs, le fameux "amour grec" qui reléguerait la femme au simple rôle de reproductrice. C'est de cette ambiguïté qu'on a tenté de rendre compte, en évitant de tomber dans le piège de "l'éternel féminin", mais en se gardant aussi de tout "féminisme militant" qui ne mettrait en lumière que les aspects négatifs de cette condition.
Une condition qu'éclaire la nature même des sociétés grecques, autant que le regard que ces sociétés portaient sur elles-mêmes.