Ce livre est la suite de La fille au revolver du même auteur, Amy Stewart. Il s’agit de la suite des aventures de Constance Kopp, une femme indépendante, au caractère bien trempé. Nous sommes dans l’Amérique des années 10, plus précisément dans le New Jersey à l’été 1915. Devenue l’adjointe du shérif, Constance est l’une des premières femmes du pays à assumer cette fonction. Mais il y a de nombreuses réticences et tout le monde n’accepte pas qu’elle occupe ce poste. Déchue, elle devient simple gardienne et responsable de la section des femmes à la prison. Cependant,
un des prisonniers hommes -Herman Albert Von Matthesius, un vieil allemand à qui Constance sert d’interprète- simule une maladie et réussit à échapper à la surveillance de Constance et à s’enfuir de l’hôpital où il attendait d’être soigné. Pour éviter des ennuis au shérif Heath, qui risque la prison à cause d’elle, Constance décide de le retrouver.
Nous suivons ainsi tout au long du livre, les péripéties de Constance pour mettre la main sur le fugitif : recherche d’indices, de témoignages, de complices… pour savoir où il se cache et ainsi le ramener à la prison avant que le shérif ne finisse derrière les barreaux.
On retrouve donc ici Constance, non plus comme simple femme s’occupant de ses sœurs et les protégeant mais comme une femme active qui est maîtresse de sa propre vie. On a ainsi l’impression d’être face à une sorte de « western féministe » où le justicier est une femme grâce au rôle joué par Constance mais aussi grâce à l’observation des autres personnages féminins : les sœurs de Constance (La plus jeune rêvant de vivre en ville et de conduire une voiture) mais aussi les prisonnières que surveille Constance et les motifs qui les ont parfois menées derrière les barreaux.
Une femme moderne
Ce livre est la suite de La fille au revolver du même auteur, Amy Stewart. Il s’agit de la suite des aventures de Constance Kopp, une femme indépendante, au caractère bien trempé. Nous sommes dans l’Amérique des années 10, plus précisément dans le New Jersey à l’été 1915. Devenue l’adjointe du shérif, Constance est l’une des premières femmes du pays à assumer cette fonction. Mais il y a de nombreuses réticences et tout le monde n’accepte pas qu’elle occupe ce poste. Déchue, elle devient simple gardienne et responsable de la section des femmes à la prison. Cependant, un des prisonniers hommes -Herman Albert Von Matthesius, un vieil allemand à qui Constance sert d’interprète- simule une maladie et réussit à échapper à la surveillance de Constance et à s’enfuir de l’hôpital où il attendait d’être soigné. Pour éviter des ennuis au shérif Heath, qui risque la prison à cause d’elle, Constance décide de le retrouver.
Nous suivons ainsi tout au long du livre, les péripéties de Constance pour mettre la main sur le fugitif : recherche d’indices, de témoignages, de complices… pour savoir où il se cache et ainsi le ramener à la prison avant que le shérif ne finisse derrière les barreaux.
On retrouve donc ici Constance, non plus comme simple femme s’occupant de ses sœurs et les protégeant mais comme une femme active qui est maîtresse de sa propre vie. On a ainsi l’impression d’être face à une sorte de « western féministe » où le justicier est une femme grâce au rôle joué par Constance mais aussi grâce à l’observation des autres personnages féminins : les sœurs de Constance (La plus jeune rêvant de vivre en ville et de conduire une voiture) mais aussi les prisonnières que surveille Constance et les motifs qui les ont parfois menées derrière les barreaux.