Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Les nouvelles qui forment La Fascination de l'étang, dans leur diversité, sont une anthologie de l'art de Virginia Woolf : souvent naïf ou capricieux,...
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" Les nouvelles qui forment La Fascination de l'étang, dans leur diversité, sont une anthologie de l'art de Virginia Woolf : souvent naïf ou capricieux, parfois formel ou erratique, essentiellement ordonné vers l'impérieux et orgueilleux désir de saisir la réalité des sentiments, sans amertume ni concessions. " Gérard-Julien Salvy, Le Figaro Magazine.
" Portraits, tableaux, ébauches, brèves évocations d'une atmosphère ou récits en bonne et due forme, ces nouvelles qui s'échelonnèrent entre 1906, soit deux ans avant la publication des premiers essais, et 1941, avec La Station balnéaire, dernier texte écrit avant sa mort, témoignent de l'extraordinaire liberté et de la faculté d'invention de Virginia Woolf. " Christine Jordis, Le Monde.