La Famille en désordre

Par : Elisabeth Roudinesco

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages254
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-253-08476-1
  • EAN9782253084761
  • Date de parution17/11/2010
  • CollectionLivre de poche Biblio essais
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Déconstruite, recomposée, monoparentale, homoparentale, artificiellement engendrée, la famille occidentale est soumise à un grand désordre d'où découleraient, nous explique-t-on, bien des catastrophes... Désorientée par la perte d'autorité du père, mutilée par la libéralisation des moeurs, bousculée par la précarité propre à l'économie moderne, la famille apparaît de moins en moins capable de transmettre les valeurs qu'elle a incarnées. Or jamais elle n'a été autant revendiquée comme le lieu par excellence de l'épanouissement individuel. Puisque le père n'est plus le père, que les femmes maîtrisent la procréation et que les homosexuels se font une place dans le processus de la filiation, la famille est-elle condamnée et, avec elle, la possibilité pour chacun de nous de se construire comme sujet ?
Déconstruite, recomposée, monoparentale, homoparentale, artificiellement engendrée, la famille occidentale est soumise à un grand désordre d'où découleraient, nous explique-t-on, bien des catastrophes... Désorientée par la perte d'autorité du père, mutilée par la libéralisation des moeurs, bousculée par la précarité propre à l'économie moderne, la famille apparaît de moins en moins capable de transmettre les valeurs qu'elle a incarnées. Or jamais elle n'a été autant revendiquée comme le lieu par excellence de l'épanouissement individuel. Puisque le père n'est plus le père, que les femmes maîtrisent la procréation et que les homosexuels se font une place dans le processus de la filiation, la famille est-elle condamnée et, avec elle, la possibilité pour chacun de nous de se construire comme sujet ?