La famille dans les Hautes - Pyrénées. Guchen en Aure, 1830 - 1930
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- Nombre de pages284
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-343-08121-2
- EAN9782343081212
- Date de parution14/03/2016
- CollectionHistoriques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cette étude effectuée dans le cadre d'un master de recherche de deuxième année à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, s'est portée sur la commune de Guchen en vallée d'Aure. L'investigation - à travers enquêtes orales et "mémoire écrite" - a eu pour but de percevoir quels étaient les traits caractéristiques des "maisons dominantes" qui sont aussi les "grosses familles". De par leur situation sociale révélaient-elles une réelle prédominance du modèle de la famille souche proposée par Frédéric Le Play ? Existait-il un archétype de la famille et ce, pour toutes les maisons dans un cadre villageois ? Dans quelles mesures ces familles souches présupposées et leurs "maisons" se sont maintenues, ont prospéré ou disparu ? Les stratégies d'acquisition de terres et des alliances matrimoniales ont conditionné leur prégnance ou a contrario facilité leur disparition.
La place de la structure foncière est au coeur de la discussion. Avec d'importantes possessions de la terre, retrouvait-on les mêmes schémas de gouvernante dans tous les milieux et même dans les estives montagnardes gérées de manière collective ? Enfin se posait le sujet du devenir des trois espaces : village, granges foraines et estives qui servirent de cadre de vie à une société "sylvioagropastorale" jusqu'à l'aube de la Seconde Guerre mondiale.
Pour répondre à la question de la fin des terroirs, c'est-à-dire avec la rupture de l'image d'un monde traditionnel très souvent figé dans la vision populaire, il faut donc parler d'évolution du terroir. Comme à toutes les "époques" nous sommes face à la déconstruction et la reconstruction, l'effacement et l'apport du neuf. Il s'agit bien là du thème de la mobilité.
La place de la structure foncière est au coeur de la discussion. Avec d'importantes possessions de la terre, retrouvait-on les mêmes schémas de gouvernante dans tous les milieux et même dans les estives montagnardes gérées de manière collective ? Enfin se posait le sujet du devenir des trois espaces : village, granges foraines et estives qui servirent de cadre de vie à une société "sylvioagropastorale" jusqu'à l'aube de la Seconde Guerre mondiale.
Pour répondre à la question de la fin des terroirs, c'est-à-dire avec la rupture de l'image d'un monde traditionnel très souvent figé dans la vision populaire, il faut donc parler d'évolution du terroir. Comme à toutes les "époques" nous sommes face à la déconstruction et la reconstruction, l'effacement et l'apport du neuf. Il s'agit bien là du thème de la mobilité.
Cette étude effectuée dans le cadre d'un master de recherche de deuxième année à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, s'est portée sur la commune de Guchen en vallée d'Aure. L'investigation - à travers enquêtes orales et "mémoire écrite" - a eu pour but de percevoir quels étaient les traits caractéristiques des "maisons dominantes" qui sont aussi les "grosses familles". De par leur situation sociale révélaient-elles une réelle prédominance du modèle de la famille souche proposée par Frédéric Le Play ? Existait-il un archétype de la famille et ce, pour toutes les maisons dans un cadre villageois ? Dans quelles mesures ces familles souches présupposées et leurs "maisons" se sont maintenues, ont prospéré ou disparu ? Les stratégies d'acquisition de terres et des alliances matrimoniales ont conditionné leur prégnance ou a contrario facilité leur disparition.
La place de la structure foncière est au coeur de la discussion. Avec d'importantes possessions de la terre, retrouvait-on les mêmes schémas de gouvernante dans tous les milieux et même dans les estives montagnardes gérées de manière collective ? Enfin se posait le sujet du devenir des trois espaces : village, granges foraines et estives qui servirent de cadre de vie à une société "sylvioagropastorale" jusqu'à l'aube de la Seconde Guerre mondiale.
Pour répondre à la question de la fin des terroirs, c'est-à-dire avec la rupture de l'image d'un monde traditionnel très souvent figé dans la vision populaire, il faut donc parler d'évolution du terroir. Comme à toutes les "époques" nous sommes face à la déconstruction et la reconstruction, l'effacement et l'apport du neuf. Il s'agit bien là du thème de la mobilité.
La place de la structure foncière est au coeur de la discussion. Avec d'importantes possessions de la terre, retrouvait-on les mêmes schémas de gouvernante dans tous les milieux et même dans les estives montagnardes gérées de manière collective ? Enfin se posait le sujet du devenir des trois espaces : village, granges foraines et estives qui servirent de cadre de vie à une société "sylvioagropastorale" jusqu'à l'aube de la Seconde Guerre mondiale.
Pour répondre à la question de la fin des terroirs, c'est-à-dire avec la rupture de l'image d'un monde traditionnel très souvent figé dans la vision populaire, il faut donc parler d'évolution du terroir. Comme à toutes les "époques" nous sommes face à la déconstruction et la reconstruction, l'effacement et l'apport du neuf. Il s'agit bien là du thème de la mobilité.