La fabuleuse histoire de la soie en Cévennes

Par : Nelly Duret, Frédéric Cartier-Lange
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  • Nombre de pages72
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.292 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,6 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-37591-111-2
  • EAN9782375911112
  • Date de parution14/04/2025
  • ÉditeurAlcide jeunesse

Résumé

Quel est ce fil précieux découvert par hasard, selon la légende, par une impératrice chinoise dans sa tasse de thé ? Un fil qui a gardé son secret durant plus de 3000 ans et donné naissance aux routes de la soie, témoins de fabuleux récits. Qu'est-ce que ce fil ? Comment le fabrique-t-on ? Comment les Cévennes en sont arrivées au XIXe siècle à représenter la moitié de la production française ? A l'origine est le mûrier, l'arbre dont les feuilles nourrissent les vers à soie.
Cet arbre, planté par millions, conquiert les terrasses des pentes cévenoles. Du XVIIe au XIXe siècle, la production de soie apporte un certain confort matériel aux Cévenols. Le mûrier devient "l'arbre d'or", même si les conditions de travail dans les filatures sont dures. A la fin du XIXe siècle, les maladies du ver à soie imposent des voyages jusqu'au Japon pour ramener des graines saines tandis que Louis Pasteur cherche des solutions.
Las ! A peine celles-ci trouvées, apparaissent les fibres synthétiques. Rien ne leur résiste, mettant un terme à une aventure hors norme dont la mémoire perdure dans l'architecture et le paysage cévenols.
Quel est ce fil précieux découvert par hasard, selon la légende, par une impératrice chinoise dans sa tasse de thé ? Un fil qui a gardé son secret durant plus de 3000 ans et donné naissance aux routes de la soie, témoins de fabuleux récits. Qu'est-ce que ce fil ? Comment le fabrique-t-on ? Comment les Cévennes en sont arrivées au XIXe siècle à représenter la moitié de la production française ? A l'origine est le mûrier, l'arbre dont les feuilles nourrissent les vers à soie.
Cet arbre, planté par millions, conquiert les terrasses des pentes cévenoles. Du XVIIe au XIXe siècle, la production de soie apporte un certain confort matériel aux Cévenols. Le mûrier devient "l'arbre d'or", même si les conditions de travail dans les filatures sont dures. A la fin du XIXe siècle, les maladies du ver à soie imposent des voyages jusqu'au Japon pour ramener des graines saines tandis que Louis Pasteur cherche des solutions.
Las ! A peine celles-ci trouvées, apparaissent les fibres synthétiques. Rien ne leur résiste, mettant un terme à une aventure hors norme dont la mémoire perdure dans l'architecture et le paysage cévenols.