" Du dieu des batailles, rien à dire. De son odeur forte, de sa croupe d'athlète qui peine, rien à dire. De ses trafics, provinces et doubles, rien à dire. De ses petits bien mis, au premier rang, rien à dire. De leurs joies, de leurs rires, rien à dire. De leurs jeux, de leur goût exquis, de leur esprit de géométrie, rien à dire. De leur habileté, politesse, brillantes études, rien à dire. Des petits de ses petits, rien à dire. De leurs écrans et claviers, des images qui font merveille, rien à dire. Cours normal, code pénal, rien à dire. Des beaux chefs, tables rondes, règles non écrites, rien à dire. De leur pays devant la loi, de la poursuite du bonheur, des frontières naturelles, rien à dire. De la marge, du rebord, du défaut, rien à dire. De nos dieux à maillet, de nos obscures narrations, rien à dire. "
" Du dieu des batailles, rien à dire. De son odeur forte, de sa croupe d'athlète qui peine, rien à dire. De ses trafics, provinces et doubles, rien à dire. De ses petits bien mis, au premier rang, rien à dire. De leurs joies, de leurs rires, rien à dire. De leurs jeux, de leur goût exquis, de leur esprit de géométrie, rien à dire. De leur habileté, politesse, brillantes études, rien à dire. Des petits de ses petits, rien à dire. De leurs écrans et claviers, des images qui font merveille, rien à dire. Cours normal, code pénal, rien à dire. Des beaux chefs, tables rondes, règles non écrites, rien à dire. De leur pays devant la loi, de la poursuite du bonheur, des frontières naturelles, rien à dire. De la marge, du rebord, du défaut, rien à dire. De nos dieux à maillet, de nos obscures narrations, rien à dire. "