À paraître
La douceur rouge des étoiles
1e édition
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions22,1 cm × 14,1 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-85035-196-9
- EAN9782850351969
- Date de parution03/10/2025
- ÉditeurATELIER CONT
- IllustrateurRoux benoît De
Résumé
Lorsque Rilke, lisant Hélian, conçut que Georg Trakl avait "construit" le poème "sur ses silences" ou, mieux encore, entouré de clôtures "l'infinie non-parole" , il ouvrit de nouveaux espaces à la musique de la pensée. Pour Laurent Fassin, ces espaces abritent les absents, les disparus, et les fantômes privés d'une ultime demeure. La structure phonique, le rythme et le sens qui fondent le poème les inscrivent sur une carte du ciel, laquelle devra sa justesse et son étendue à la seule mémoire.
Que cette mémoire se consume, se perde puis disparaisse, c'est la poésie qui s'effacera avec elle. Au souffle donc de révéler la douceur rouge des étoiles, dont parlait Georg Trakl dans son poème A un jeune mort, et de l'incarner.
Que cette mémoire se consume, se perde puis disparaisse, c'est la poésie qui s'effacera avec elle. Au souffle donc de révéler la douceur rouge des étoiles, dont parlait Georg Trakl dans son poème A un jeune mort, et de l'incarner.
Lorsque Rilke, lisant Hélian, conçut que Georg Trakl avait "construit" le poème "sur ses silences" ou, mieux encore, entouré de clôtures "l'infinie non-parole" , il ouvrit de nouveaux espaces à la musique de la pensée. Pour Laurent Fassin, ces espaces abritent les absents, les disparus, et les fantômes privés d'une ultime demeure. La structure phonique, le rythme et le sens qui fondent le poème les inscrivent sur une carte du ciel, laquelle devra sa justesse et son étendue à la seule mémoire.
Que cette mémoire se consume, se perde puis disparaisse, c'est la poésie qui s'effacera avec elle. Au souffle donc de révéler la douceur rouge des étoiles, dont parlait Georg Trakl dans son poème A un jeune mort, et de l'incarner.
Que cette mémoire se consume, se perde puis disparaisse, c'est la poésie qui s'effacera avec elle. Au souffle donc de révéler la douceur rouge des étoiles, dont parlait Georg Trakl dans son poème A un jeune mort, et de l'incarner.