La douceur du sang - Poche

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Boris Schreiber - La douceur du sang.
" Etre l'empreinte digitale des manchots. " Tel est le rôle que Boris Schreiber assigne à l'écrivain, mais que peut ce dernier contre le temps qui,... Lire la suite
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    • La douceur du sang
      Paru le : 02/12/2004
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Résumé

" Etre l'empreinte digitale des manchots. " Tel est le rôle que Boris Schreiber assigne à l'écrivain, mais que peut ce dernier contre le temps qui, jour après jour, imprime sa marque, de la mèche de cheveux à l'ivoire des dents ? Boris, le narrateur, est prêt à toutes les alliances, y compris à une allégeance aux dieux mayas, pour vaincre cette fatalité à laquelle se refuse son esprit resté celui de l'enfant prodige qu'il fut, selon Gide. Eblouissant, drolatique, provocateur. Les mots manquent pour qualifier ce roman où Boris Schreiber met aussi en scène Arnold, un autre écrivain. Entre ces deux monstres littéraires, qui ont en partage une mère russe, c'est une lutte au couteau. Chacun est le souffre-douleur de l'autre et leurs dialogues sont des duels que leur cruauté arbitre. Un roman dont la force et les éblouissements accompagneront longtemps les lecteurs.

Caractéristiques

  • Date de parution
    02/12/2004
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-031098-1
  • EAN
    9782070310982
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    211 pages
  • Poids
    0.16 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm

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L'éditeur en parle

Eblouissant, drolatique, provocateur. Un roman dont la force et les éblouissements accompagneront longtemps les lecteurs.

À propos de l'auteur

Biographie de Boris Schreiber

Né en 1923 à Berlin de parents russes exilés après la Révolution d'octobre 1917, Boris Schreiber est habité par le sentiment d'être partout de passage. La langue française, dont il a éprouvé toutes les voluptés, est la seule terre d'accueil dans laquelle il se reconnaisse. Toute son œuvre romanesque - particulièrement sa biographie romancée Le lait de la nuit (1989), Le tournesol déchiré (1991), Un silence d'environ une demi-heure (1996), Hors-les-murs (1998) - en témoigne. Il a reçu le prix Renaudot pour Un silence d'environ une demi-heure.

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