Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Toujours, dans toute proposition affirmative véritable, nécessaire ou contingente, universelle ou singulière, la notion du prédicat est comprise...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
" Toujours, dans toute proposition affirmative véritable, nécessaire ou contingente, universelle ou singulière, la notion du prédicat est comprise en quelque façon dans celle du sujet, praedicatum inest subjecto ou bien je ne sais ce que c'est que la vérité. " Parce qu'elles mettaient principalement l'accent sur les liaisons conceptuelles, les précisions de ce genre ont été interprétées comme autant d'indices permettant de reconstituer le contenu du prédicat de vérité à partir de présupposés cohérentistes. Dans le consensus qui s'est établi sur ce point, le plus souvent de manière implicite, le rôle herméneutique très excessif accordé à la notion de système a eu une portée aussi considérable que le contenu des quelques textes généralement allégués. Si l'on admet, au contraire, qu'il y a bien une "doctrine leibnizienne de la vérité" comme il y a, par exemple, une doctrina conditionum en droit - c'est-à-dire un ensemble de thèses largement héritées de la tradition et néanmoins susceptibles d'un très haut degré de rationalité - alors on est amené à inscrire la position de Leibniz dans le contexte du débat relatif à l'adaequatio, rei et à souligner davantage ce qui l'apparente à une théorie de la vérité-correspondance. Cet argument principal est soutenu par des analyses de détail dans la logique. Une attention particulière est apportée aux valeurs des variables du nouveau calcul, à la fonction du prédicat de possibilité, au problème relatif à la constantia subjecti et au statut des entités intensionnelles. L'image de l'ontologie leibnizienne s'en trouve modifiée et précisée : à la fois possibiliste - puisqu'elle est peuplée d'entités inactuelles - et factualiste - l'identité des particuliers, les propriétés et relations qui sont les leurs sont distinguées et pourtant inséparables - elle est traversée de tensions importantes et occupe une place tout à fait singulière dans cette partie de la philosophie qui connaît aujourd'hui un si profond renouveau.