La dimension sociopolitique de la littérature africaine contemporaine
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- Nombre de pages165
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.22 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-296-57535-6
- EAN9782296575356
- Date de parution01/11/2012
- CollectionCritiques littéraires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cette étude se situe dans le prolongement des travaux publiés par l'auteur. Elle reprend pour une part les oeuvres déjà présentées mais propose un renouvellement de la lecture. En effet, si la notion de littérature sociale est indéniable, on verra ensuite que la dimension esthétique des textes, la littérarité, n'est pas oubliée. Cette notion permet de poser la question de la responsabilité de l'écrivain et de l'intellectuel, face aux pouvoirs.
Dans les études, le texte dépasse sa fonction de "reflet" ou de contre-discours. La satire permet à l'écrivain de sortir du cadre discursif fixé par le discours du dictateur (le Père providentiel selon Sony Labou Tansi) et le déconstruire.
Dans les études, le texte dépasse sa fonction de "reflet" ou de contre-discours. La satire permet à l'écrivain de sortir du cadre discursif fixé par le discours du dictateur (le Père providentiel selon Sony Labou Tansi) et le déconstruire.
Cette étude se situe dans le prolongement des travaux publiés par l'auteur. Elle reprend pour une part les oeuvres déjà présentées mais propose un renouvellement de la lecture. En effet, si la notion de littérature sociale est indéniable, on verra ensuite que la dimension esthétique des textes, la littérarité, n'est pas oubliée. Cette notion permet de poser la question de la responsabilité de l'écrivain et de l'intellectuel, face aux pouvoirs.
Dans les études, le texte dépasse sa fonction de "reflet" ou de contre-discours. La satire permet à l'écrivain de sortir du cadre discursif fixé par le discours du dictateur (le Père providentiel selon Sony Labou Tansi) et le déconstruire.
Dans les études, le texte dépasse sa fonction de "reflet" ou de contre-discours. La satire permet à l'écrivain de sortir du cadre discursif fixé par le discours du dictateur (le Père providentiel selon Sony Labou Tansi) et le déconstruire.











