Aaron Tugendhaft est un spécialiste du Proche-Orient ancien, diplômé à la fois en histoire de l'art et en études hébraïques. Il enseigne au Bard College de Berlin.
La destruction des idoles. D'Abraham à l'Etat islamique
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.226 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,4 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-8309-1775-8
- EAN9782830917758
- Date de parution23/03/2022
- CollectionHistoire des religions
- ÉditeurLabor et Fides
- TraducteurDaniel Barbu
Résumé
Alors que les technologies numériques et les médias sociaux ont transformé nos imaginaires, comment naviguer entre iconoclasme et idolâtrie ? En 2015, une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux suscitait l'indignation de la communauté internationale : on y voyait des hommes en train de saccager le musée de Mossoul. L'Etat islamique affichait aux yeux du monde sa détermination à lutter contre l'idolâtrie.
Trois millénaires plus tôt, un roi assyrien faisait lui aussi représenter des soldats en train de briser une statue. Que cache cet étrange parallèle ? Pourquoi produire de nouvelles images, qui mettent en scène la destruction des anciennes ? Ce livre interroge la fonction politique des images autant que les politiques de l'iconoclasme. Du Proche-Orient ancien à l'Empire britannique et ses musées, de l'Irak de Saddam Hussein aux utopies cinématographiques de l'Etat islamique en passant par l'iconoclasme algorithmique imposé par les géants du Web, Aaron Tugendhaft montre qu'aucune image n'est neutre, que toute image peut devenir une idole.
Peut-on se passer d'images ? Le rêve d'Abraham d'un monde sans idoles n'a-t-il pas quelque chose à nous dire sur le rôle des images dans la fabrique même de nos communautés politiques ?
Trois millénaires plus tôt, un roi assyrien faisait lui aussi représenter des soldats en train de briser une statue. Que cache cet étrange parallèle ? Pourquoi produire de nouvelles images, qui mettent en scène la destruction des anciennes ? Ce livre interroge la fonction politique des images autant que les politiques de l'iconoclasme. Du Proche-Orient ancien à l'Empire britannique et ses musées, de l'Irak de Saddam Hussein aux utopies cinématographiques de l'Etat islamique en passant par l'iconoclasme algorithmique imposé par les géants du Web, Aaron Tugendhaft montre qu'aucune image n'est neutre, que toute image peut devenir une idole.
Peut-on se passer d'images ? Le rêve d'Abraham d'un monde sans idoles n'a-t-il pas quelque chose à nous dire sur le rôle des images dans la fabrique même de nos communautés politiques ?
Alors que les technologies numériques et les médias sociaux ont transformé nos imaginaires, comment naviguer entre iconoclasme et idolâtrie ? En 2015, une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux suscitait l'indignation de la communauté internationale : on y voyait des hommes en train de saccager le musée de Mossoul. L'Etat islamique affichait aux yeux du monde sa détermination à lutter contre l'idolâtrie.
Trois millénaires plus tôt, un roi assyrien faisait lui aussi représenter des soldats en train de briser une statue. Que cache cet étrange parallèle ? Pourquoi produire de nouvelles images, qui mettent en scène la destruction des anciennes ? Ce livre interroge la fonction politique des images autant que les politiques de l'iconoclasme. Du Proche-Orient ancien à l'Empire britannique et ses musées, de l'Irak de Saddam Hussein aux utopies cinématographiques de l'Etat islamique en passant par l'iconoclasme algorithmique imposé par les géants du Web, Aaron Tugendhaft montre qu'aucune image n'est neutre, que toute image peut devenir une idole.
Peut-on se passer d'images ? Le rêve d'Abraham d'un monde sans idoles n'a-t-il pas quelque chose à nous dire sur le rôle des images dans la fabrique même de nos communautés politiques ?
Trois millénaires plus tôt, un roi assyrien faisait lui aussi représenter des soldats en train de briser une statue. Que cache cet étrange parallèle ? Pourquoi produire de nouvelles images, qui mettent en scène la destruction des anciennes ? Ce livre interroge la fonction politique des images autant que les politiques de l'iconoclasme. Du Proche-Orient ancien à l'Empire britannique et ses musées, de l'Irak de Saddam Hussein aux utopies cinématographiques de l'Etat islamique en passant par l'iconoclasme algorithmique imposé par les géants du Web, Aaron Tugendhaft montre qu'aucune image n'est neutre, que toute image peut devenir une idole.
Peut-on se passer d'images ? Le rêve d'Abraham d'un monde sans idoles n'a-t-il pas quelque chose à nous dire sur le rôle des images dans la fabrique même de nos communautés politiques ?