Depuis la fin de la Guerre Froide, la Terre n'a jamais connu autant de conflits. Afrique, Amérique latine, Asie, Caraïbes, Caucase, Europe orientale, Moyen-Orient : les guerres se multiplient en impliquant toujours plus d'acteurs locaux et mondiaux. Au milieu de ce chaos, le football revêt une importance particulière. Moment de trêve et symbole de paix pour certains, il est aussi utilisé comme un moyen de recrutement et d'adhésion à une idéologie armée ou terroriste par d'autres.
Plus qu'un sport, il est un des symboles d'identité ou d'indépendance pour les peuples et une arme politique pour bien des Etats. Un double jeu dangereux accru par la FIFA et son président, Gianni Infantino, qui se rêve en prochain secrétaire général de l'ONU en assurant qu'un match de football sonnerait comme un armistice. Dans la lignée de ses enquêtes et précédents ouvrages, Romain Molina va encore plus loin et révèle les accords secrets entre la FIFA et les gouvernements en temps de guerre.
De l'Arménie à la Palestine en passant par la Birmanie, le Liban, le Honduras, la République démocratique du Congo, le Sahel, le Soudan, la Syrie ou l'Ukraine, il donne la parole à ces entraîneurs, dirigeants et joueurs dont la vie a été bouleversée, sans savoir avec quel type de balle ils devront tirer la prochaine fois.
Depuis la fin de la Guerre Froide, la Terre n'a jamais connu autant de conflits. Afrique, Amérique latine, Asie, Caraïbes, Caucase, Europe orientale, Moyen-Orient : les guerres se multiplient en impliquant toujours plus d'acteurs locaux et mondiaux. Au milieu de ce chaos, le football revêt une importance particulière. Moment de trêve et symbole de paix pour certains, il est aussi utilisé comme un moyen de recrutement et d'adhésion à une idéologie armée ou terroriste par d'autres.
Plus qu'un sport, il est un des symboles d'identité ou d'indépendance pour les peuples et une arme politique pour bien des Etats. Un double jeu dangereux accru par la FIFA et son président, Gianni Infantino, qui se rêve en prochain secrétaire général de l'ONU en assurant qu'un match de football sonnerait comme un armistice. Dans la lignée de ses enquêtes et précédents ouvrages, Romain Molina va encore plus loin et révèle les accords secrets entre la FIFA et les gouvernements en temps de guerre.
De l'Arménie à la Palestine en passant par la Birmanie, le Liban, le Honduras, la République démocratique du Congo, le Sahel, le Soudan, la Syrie ou l'Ukraine, il donne la parole à ces entraîneurs, dirigeants et joueurs dont la vie a été bouleversée, sans savoir avec quel type de balle ils devront tirer la prochaine fois.