La danse liturgique et son statut théologique dans le rite romain

Par : Ghislain Zouatekongbo

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages282
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.429 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-336-48718-2
  • EAN9782336487182
  • Date de parution16/01/2025
  • CollectionReligions et spiritualité
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierSymphorien Uwimana

Résumé

La présence de la danse durant les célébrations liturgiques de l'Eglise catholique de Centrafrique pose la question du rapport entre la danse et la liturgie. La danse liturgique n'est pas exclusive à un rite liturgique donné car chaque rite est totalement libre dans ses pratiques liturgiques. L'option relative à l'exclusion de la dame dans la liturgie du rite romain, motivée principalement par les finalités attribuées à la danse dans la culture occidentale, ne doit pas être perçue comme étant un idéal contrariant pour les autres rites.
Ainsi, certaines familles liturgiques, notamment byzantine, éthiopienne et syriaque en font usage. Leur pratique de la danse est dite liturgique, c'est-à-dire conforme aux principes de la liturgie, car elle est inscrite dans les textes eucologiques. Pour les pays de mission du rite romain, par le biais de l'inculturation liturgique, la pratique de la danse est possible, cependant elle doit se faire selon les règles de l'art en évitant toute ambiguïté.
Il s'agit alors de la danse liturgique inculturée. Mais il n'y a pas d'amalgame à faire entre les termes danse liturgique et danse liturgique inculturée.
La présence de la danse durant les célébrations liturgiques de l'Eglise catholique de Centrafrique pose la question du rapport entre la danse et la liturgie. La danse liturgique n'est pas exclusive à un rite liturgique donné car chaque rite est totalement libre dans ses pratiques liturgiques. L'option relative à l'exclusion de la dame dans la liturgie du rite romain, motivée principalement par les finalités attribuées à la danse dans la culture occidentale, ne doit pas être perçue comme étant un idéal contrariant pour les autres rites.
Ainsi, certaines familles liturgiques, notamment byzantine, éthiopienne et syriaque en font usage. Leur pratique de la danse est dite liturgique, c'est-à-dire conforme aux principes de la liturgie, car elle est inscrite dans les textes eucologiques. Pour les pays de mission du rite romain, par le biais de l'inculturation liturgique, la pratique de la danse est possible, cependant elle doit se faire selon les règles de l'art en évitant toute ambiguïté.
Il s'agit alors de la danse liturgique inculturée. Mais il n'y a pas d'amalgame à faire entre les termes danse liturgique et danse liturgique inculturée.