"Dèsl'enfance, quand je vois ma soeur danser, je me rends compte que quelque chose est en cours, que ça s'imprime quelque part en moi, du côté non pas du danseur, mais du chorégraphe". Tout au long des dialogues avec Philippe Bouret, Hervé Koubi déplie ce qu'il en est pour lui d'être chorégraphe. Ainsi "être chorégraphe c'est créer une vague sur laquelle surfent les danseurs. C'est une métaphore que j'aime particulièrement.
La vague, c'est ce qui est écrit. La vague je ne la change pas. Elle se traduit, elle peut s'échouer, voire se fracasser, mais elle a une force précise, voulue, une forme et mes danseurs font avec elle. Mon rôle est de créer des vagues et de permettre à chaque danseur d'inventer à partir de ces vagues une forme de liberté". Hervé Koubi développe également la conception qu'il se fait de l'ensemble, du choeur quand il construit une pièce.
"Il y a dans un ensemble une force incroyable. Ce peuvent être des oiseaux, des hommes et des femmes ou bien un champ de blé soufflé, au mois de mai. Voilà ce qui me touche profondément. Etre ensemble, quels que soient les sexes. J'ai toujours eu des équipes avec beaucoup de danseurs et ce qui ressort de cette constante, c'est toujours l'idée d'ensemble qui se tient au corps, l'idée du groupe, l'idée du choeur dansant".
"Dèsl'enfance, quand je vois ma soeur danser, je me rends compte que quelque chose est en cours, que ça s'imprime quelque part en moi, du côté non pas du danseur, mais du chorégraphe". Tout au long des dialogues avec Philippe Bouret, Hervé Koubi déplie ce qu'il en est pour lui d'être chorégraphe. Ainsi "être chorégraphe c'est créer une vague sur laquelle surfent les danseurs. C'est une métaphore que j'aime particulièrement.
La vague, c'est ce qui est écrit. La vague je ne la change pas. Elle se traduit, elle peut s'échouer, voire se fracasser, mais elle a une force précise, voulue, une forme et mes danseurs font avec elle. Mon rôle est de créer des vagues et de permettre à chaque danseur d'inventer à partir de ces vagues une forme de liberté". Hervé Koubi développe également la conception qu'il se fait de l'ensemble, du choeur quand il construit une pièce.
"Il y a dans un ensemble une force incroyable. Ce peuvent être des oiseaux, des hommes et des femmes ou bien un champ de blé soufflé, au mois de mai. Voilà ce qui me touche profondément. Etre ensemble, quels que soient les sexes. J'ai toujours eu des équipes avec beaucoup de danseurs et ce qui ressort de cette constante, c'est toujours l'idée d'ensemble qui se tient au corps, l'idée du groupe, l'idée du choeur dansant".