La curieuse histoire de Sainte Germaine de Pibrac

Par : Jean Méral
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  • Nombre de pages132
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.132 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-35120-171-8
  • EAN9782351201718
  • Date de parution13/09/2018
  • CollectionL'art de transmettre
  • ÉditeurComplicités

Résumé

"Il est peu de lieux en France où le nom de la bienheureuse Bergère de Pibrac n'ait pénétré et ne soit béni, tant ses bienfaits se sont déjà répandus au loin," écrivait Louis Veuillot en 1854. Cette même année, lors des fêtes de la béatification, soixante-quinze mille personnes défilèrent devant ses reliques dans son village natal. Le 29 juin 1867, à Rome, Pie IX proclama la canonisation de Germaine Cousin devant quarante-cinq cardinaux, quatre cent vingt archevêques et évêques, et cent mille fidèles...
Mais que reste-t-il de cette gloire passée ? Jean Méral étudie de près, dans cet essai, tous les documents relatifs à la sainte. Il y relève de nombreuses erreurs, contradictions et impossibilités. Il déconstruit l'histoire officielle, et la réorganise, en allant du concret vers l'abstrait, du possible vers l'inacceptable. Il explique, enfin, à sa façon, le miracle fondateur, celui de la découverte d'un corps intact ayant, selon la tradition, passé quarante-trois ans sous terre.
"Il est peu de lieux en France où le nom de la bienheureuse Bergère de Pibrac n'ait pénétré et ne soit béni, tant ses bienfaits se sont déjà répandus au loin," écrivait Louis Veuillot en 1854. Cette même année, lors des fêtes de la béatification, soixante-quinze mille personnes défilèrent devant ses reliques dans son village natal. Le 29 juin 1867, à Rome, Pie IX proclama la canonisation de Germaine Cousin devant quarante-cinq cardinaux, quatre cent vingt archevêques et évêques, et cent mille fidèles...
Mais que reste-t-il de cette gloire passée ? Jean Méral étudie de près, dans cet essai, tous les documents relatifs à la sainte. Il y relève de nombreuses erreurs, contradictions et impossibilités. Il déconstruit l'histoire officielle, et la réorganise, en allant du concret vers l'abstrait, du possible vers l'inacceptable. Il explique, enfin, à sa façon, le miracle fondateur, celui de la découverte d'un corps intact ayant, selon la tradition, passé quarante-trois ans sous terre.