La crise de l'outre-mer français. Guadeloupe, Martinique, Réunion

Par : Suzanne Dracius, Jean-François Samlong, Gérard Théobald

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  • Nombre de pages164
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-296-10151-7
  • EAN9782296101517
  • Date de parution28/07/2009
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'Outre-mer français clame son exaspération, sa souffrance, son angoisse, et toute la France frémit, s'émeut, s'inquiète, l'air de dire " mais on ne savait pas ! ". On ne savait rien de la crise sociale, économique, sociétale qui couvait depuis des années à la Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique, à la Réunion, comme si les députés et sénateurs n'avaient fait remonter aucun dossier à Paris. On ne savait rien jusqu'au jour où médias nationaux et hommes politiques finissent par entendre la parole du citoyen qui revendique le droit de vivre dignement.
La crise de l'Outre-mer a permis à chacun de prendre conscience des inquiétudes dues à la pauvreté, au chômage, aux inégalités sociales, à la dépendance à l'égard de la métropole, et déjà on réfléchit à des solutions nouvelles à partir d'une situation définie. Et jamais l'espoir n'a été aussi grand ! Cette crise, c'est le rêve d'un mieux vivre ensemble. Ce rêve, c'est un monde où les Etats garantiraient la redistribution des richesses et prendraient également en compte la question de l'être, qui est porteur d'avenir.
L'Outre-mer français clame son exaspération, sa souffrance, son angoisse, et toute la France frémit, s'émeut, s'inquiète, l'air de dire " mais on ne savait pas ! ". On ne savait rien de la crise sociale, économique, sociétale qui couvait depuis des années à la Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique, à la Réunion, comme si les députés et sénateurs n'avaient fait remonter aucun dossier à Paris. On ne savait rien jusqu'au jour où médias nationaux et hommes politiques finissent par entendre la parole du citoyen qui revendique le droit de vivre dignement.
La crise de l'Outre-mer a permis à chacun de prendre conscience des inquiétudes dues à la pauvreté, au chômage, aux inégalités sociales, à la dépendance à l'égard de la métropole, et déjà on réfléchit à des solutions nouvelles à partir d'une situation définie. Et jamais l'espoir n'a été aussi grand ! Cette crise, c'est le rêve d'un mieux vivre ensemble. Ce rêve, c'est un monde où les Etats garantiraient la redistribution des richesses et prendraient également en compte la question de l'être, qui est porteur d'avenir.