La crise de conscience de l'Europe

Par : Christian Letram

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7547-1315-3
  • EAN9782754713153
  • Date de parution25/05/2012
  • CollectionEssai
  • Éditeurdu Panthéon

Résumé

" Peut-on s'attendre à ce que l'Europe abandonne quelque peu ses fantasmes et sa prétendue mauvaise conscience vis-à-vis de toute forme de racisme ? En effet, cette réalité la mène tout droit, au nom de la tolérance et des droits de l'homme, à l'abandon de ses valeurs judéo-chrétiennes et de la souveraineté nationale. Exercer la tolérance est déjà une expression de racisme et, en tous cas, l'exercice d'un jugement par rapport à sa propre définition de son ego.
Le XXIème siècle que nous abordons, offre-t-il l'espoir d'une meilleure compréhension entre les ethnies qui peuplent cette terre ou, au contraire, une aggravation du racisme et du refus de tolérance, notamment religieuse ? Le terme même de racisme est devenu objet de rejet et de politiquement incorrect depuis la seconde moitié du XXème siècle. Il a revêtu des réalités bien différentes selon son contexte historique, colonial ou contemporain, mais d'où le religieux était rarement absent.
De fait, aujourd'hui, s'il est une manifestation violente et quotidienne c'est bien celle d'un racisme virulent de certains immigrés à l'encontre des Européens. Ce que l'on qualifie parfois de racisme anti-blanc. Ce dernier ne s'est développé qu'à cause de la tolérance à sens unique des Européens. L'Europe est restée apathique face au déferlement d'étrangers en refusant toute assimilation. Cette absence de réaction a été interprétée par eux comme un signe de faiblesse ou même de renoncement à la souveraineté nationale.
" - Christian Letram
" Peut-on s'attendre à ce que l'Europe abandonne quelque peu ses fantasmes et sa prétendue mauvaise conscience vis-à-vis de toute forme de racisme ? En effet, cette réalité la mène tout droit, au nom de la tolérance et des droits de l'homme, à l'abandon de ses valeurs judéo-chrétiennes et de la souveraineté nationale. Exercer la tolérance est déjà une expression de racisme et, en tous cas, l'exercice d'un jugement par rapport à sa propre définition de son ego.
Le XXIème siècle que nous abordons, offre-t-il l'espoir d'une meilleure compréhension entre les ethnies qui peuplent cette terre ou, au contraire, une aggravation du racisme et du refus de tolérance, notamment religieuse ? Le terme même de racisme est devenu objet de rejet et de politiquement incorrect depuis la seconde moitié du XXème siècle. Il a revêtu des réalités bien différentes selon son contexte historique, colonial ou contemporain, mais d'où le religieux était rarement absent.
De fait, aujourd'hui, s'il est une manifestation violente et quotidienne c'est bien celle d'un racisme virulent de certains immigrés à l'encontre des Européens. Ce que l'on qualifie parfois de racisme anti-blanc. Ce dernier ne s'est développé qu'à cause de la tolérance à sens unique des Européens. L'Europe est restée apathique face au déferlement d'étrangers en refusant toute assimilation. Cette absence de réaction a été interprétée par eux comme un signe de faiblesse ou même de renoncement à la souveraineté nationale.
" - Christian Letram