La corporation critique. Tome 2, La voix de Michel Bernard

Par : Sylvain Ferez

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  • Nombre de pages248
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.388 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-343-21219-7
  • EAN9782343212197
  • Date de parution09/11/2020
  • CollectionMouvement des Savoirs
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierDaniel Denis

Résumé

Le nom de Michel Bernard est connu en éducation physique, dans le monde de la danse, et chez celles et ceux qui nourrissent une réflexion en lien avec Le Corps. Tous ont lu avec plus ou moins d'attention l'ouvrage qu'il a publié en 1972 sous ce titre énigmatique. Mais peu sont en mesure de l'inscrire dans une pensée philosophique, telle qu'elle éclot à partir des années 1950, puis se développe tout au long des années 1960 et 1970.
Et encore moins de situer la façon dont cette pensée émerge d'une trajectoire biographique, c'est-à-dire de la projection d'un corps vivant et écrivant. Au sortir de la guerre, comment la philosophie s'impose-t-elle à un adolescent féru de sport et de mathématiques - que rien ne prédestinait à elle - sinon par l'épreuve de la tuberculose ? Comment l'expérience sensible du souffle-court, et de la vie au sanatorium, met-elle en branle une réflexion qui, tout en cherchant à dévoiler les croyances qui se logent dans l'institution du langage, éclaire le génie expressif et le pouvoir fictionnaire de notre corporéité? C'est sur la base de ces questions que l'auteur tente, notamment, de saisir le rôle de Michel Bernard auprès de la "génération 68" de l'éducation physique.
A partir des années 1980, son engagement dans la recherche en danse le conduit à envisager la création chorégraphique selon une lecture qui implique de repenser l'esthétique. Il conviendra d'y revenir dans le troisième tome de La Corporation critique.
Le nom de Michel Bernard est connu en éducation physique, dans le monde de la danse, et chez celles et ceux qui nourrissent une réflexion en lien avec Le Corps. Tous ont lu avec plus ou moins d'attention l'ouvrage qu'il a publié en 1972 sous ce titre énigmatique. Mais peu sont en mesure de l'inscrire dans une pensée philosophique, telle qu'elle éclot à partir des années 1950, puis se développe tout au long des années 1960 et 1970.
Et encore moins de situer la façon dont cette pensée émerge d'une trajectoire biographique, c'est-à-dire de la projection d'un corps vivant et écrivant. Au sortir de la guerre, comment la philosophie s'impose-t-elle à un adolescent féru de sport et de mathématiques - que rien ne prédestinait à elle - sinon par l'épreuve de la tuberculose ? Comment l'expérience sensible du souffle-court, et de la vie au sanatorium, met-elle en branle une réflexion qui, tout en cherchant à dévoiler les croyances qui se logent dans l'institution du langage, éclaire le génie expressif et le pouvoir fictionnaire de notre corporéité? C'est sur la base de ces questions que l'auteur tente, notamment, de saisir le rôle de Michel Bernard auprès de la "génération 68" de l'éducation physique.
A partir des années 1980, son engagement dans la recherche en danse le conduit à envisager la création chorégraphique selon une lecture qui implique de repenser l'esthétique. Il conviendra d'y revenir dans le troisième tome de La Corporation critique.
Sciences Sociales et Sport N° 3, Juin 2010
Daniel F. Chambliss, Nadine Haschar-Noé, Sylvain Ferez, Jean-Paul Clément
E-book
16,99 €
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