La coopération au développement en France 1997 - 2004. Réforme et modernisation de l'Etat
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.305 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-296-02288-1
- EAN9782296022881
- Date de parution01/02/2007
- CollectionQuestions contemporaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La réforme de la politique de coopération au développement mise en oeuvre en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin apparaît comme un tournant essentiel. Elle semblait nécessaire dans ce secteur confronté à de très nombreuses critiques (complexité institutionnelle, néocolonialisme, inefficacité, affaires). Mais comment le changement a-t-il pu se construire malgré les freins opposés par tous ceux qui pouvaient souhaiter le statu quo, à commencer par les administrations concernées ? L'étude présentée dans cet ouvrage donne un éclairage original sur le long chemin de la "modernisation de l'Etat", entre résistances des organisations, communication politique, inertie de l'action publique, schémas culturels préétablis ou contraintes budgétaires.
Le processus de réforme apparaît, in fine, largement indéterminé. Mais il a, malgré tout, débouché sur un profond changement du paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à un acteur jusque-là de second plan : l'Agence française de développement.
Le processus de réforme apparaît, in fine, largement indéterminé. Mais il a, malgré tout, débouché sur un profond changement du paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à un acteur jusque-là de second plan : l'Agence française de développement.
La réforme de la politique de coopération au développement mise en oeuvre en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin apparaît comme un tournant essentiel. Elle semblait nécessaire dans ce secteur confronté à de très nombreuses critiques (complexité institutionnelle, néocolonialisme, inefficacité, affaires). Mais comment le changement a-t-il pu se construire malgré les freins opposés par tous ceux qui pouvaient souhaiter le statu quo, à commencer par les administrations concernées ? L'étude présentée dans cet ouvrage donne un éclairage original sur le long chemin de la "modernisation de l'Etat", entre résistances des organisations, communication politique, inertie de l'action publique, schémas culturels préétablis ou contraintes budgétaires.
Le processus de réforme apparaît, in fine, largement indéterminé. Mais il a, malgré tout, débouché sur un profond changement du paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à un acteur jusque-là de second plan : l'Agence française de développement.
Le processus de réforme apparaît, in fine, largement indéterminé. Mais il a, malgré tout, débouché sur un profond changement du paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à un acteur jusque-là de second plan : l'Agence française de développement.


