Alexandre Jollien est un miraculé. Étranglé à sa naissance en novembre 1975 par son cordon ombilical, il a échappé de justesse à la mort mais est devenu handicapé à vie. S'ensuit une vie faite de combats et de dépassement de sa souffrance. Passionné de philosophie, il se consacre à l'écriture après une licence de lettre. En 1999 parait Eloge de la faiblesse récompensé de plusieurs prix. En 2012, avec Petit traité de l'abandon, il continue de nous faire voyager sur les chemins de la paix intérieure, condition indispensable à une vie heureuse. En sa compagnie, apprenez à vous ouvrir à la vie et à apprécier le moment présent. Ayant lui-même réussi à transcender ses difficultés, il nous fait profiter de sa plume fluide et accessible. Bien plus que de simples livres, l'auteur nous propose des conseils spirituels faciles à appliquer au quotidien. Vous en ressortirez changé et mû par une volonté inébranlable de savourer la vie, telle qu'elle se présente à vous. Pour accéder à un état d'esprit de profonde sérénité, nous vous suggérons Frédéric Lenoir La guérison du monde, Laurent Gounelle et Dieu voyage toujours incognito ou encore Ce qui fait rire les anges de Deepak Chopra. Avec nos meilleurs prix et notre garantie satisfait ou remboursé, il est facile de lâcher prise aux côtés d'auteurs réputés et appréciés pour leur philosophie de vie.
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- Nombre de pages184
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.113 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7578-2627-0
- EAN9782757826270
- Date de parution09/02/2012
- CollectionPoints. Essais
- ÉditeurPoints
Résumé
La Construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation.
Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
La Construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation.
Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".