Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Malgré les grandes déclarations et les grands principes, la conscience a vu son espace de liberté singulièrement rétréci dans nos sociétés sécularisées,...
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Résumé
Malgré les grandes déclarations et les grands principes, la conscience a vu son espace de liberté singulièrement rétréci dans nos sociétés sécularisées, technicisées et surréglementées. Sous l'influence du conformisme idéologique, nos lois redoutent les objections de la conscience de peur d'inciter à la désobéissance civile et civique. En appeler à la conscience devient insupportable à qui ne jure que par le progrès, la modernité ou le consensus... De surcroît, renvoyant en grande partie à la transcendance, la conscience cherche encore sa place dans notre laïcité française qui, depuis un siècle, a entrepris de congédier le religieux de la vie publique avant qu'il ne déserte la vie privée. Pourtant, depuis la plus lointaine Antiquité, les relations entre la conscience et le droit se sont toujours situées au cœur de la vie sociale car la loi n'est jamais neutre : sa recherche du juste est une démarche essentiellement éthique qui, par là même, engage la conscience des citoyens, quelles que soient, par ailleurs, leurs croyances ou incroyances. La démocratie n'est pas exempte de cette tension perpétuelle qui traverse la conscience de chacun entre le bien et le mal, le juste et l'injuste, le légal et le moral. C'est à ce vaste panorama que se livrent les auteurs de cet ouvrage en envisageant la place de la conscience dans les principes du droit et les textes de loi, ainsi que son rôle dans l'activité du législateur, du magistrat et de l'avocat. Gage de vraie liberté, le respect de la conscience constitue un droit fondamental car un droit sans conscience serait tout le contraire du droit.
Sommaire
Droit sans conscience ? La liberté de conscience en droit comparé
La clause de conscience dans le domaine biomédical : un paysage contrasté
La conscience du législateur : Réflexions éthiques entre foi et loi
La conscience du législateur : enjeux pratiques
La conscience du magistrat
La conscience de l'avocat
La conscience, instance ultime dans une société pluraliste ? Le droit, la morale et la démocratie.
La Conscience Et Le Droit. Actes Du 18eme Colloque National De La Confederation Des Juristes Catholiques De France est également présent dans les rayons