Sir Arthur Conan Doyle, né le 22 mai 1859 et mort le 7 juillet 1930, débute sa vie professionnelle en tant que médecin. C'est pour pallier aux nombres restreintes de visites de son cabinet qu'il commence à écrire. C'est ainsi que, inspiré de son professeur d'université, le célèbre détective Sherlock Holmes est né. Véritable référence dans le genre de la littérature policière, ce personnage excentrique et intellectuellement supérieur se base sur sa mémoire et son formidable esprit d'analyse et de déduction pour résoudre ses passionnantes enquêtes. Sa popularité est telle que, lorsque Conan Doyle décide de le faire mourir pour se consacrer à ses romans historiques, il reçoit énormément de courriers de lecteurs le suppliant de continuer. En tout, le détective apparaît dans 56 nouvelles et 4 romans écrits par l'auteur mais aussi dans de nombreuses œuvres d'autres romanciers. Parmi les histoires les plus populaires, laissez-vous tenter par Les énigmes de Sherlock Holmes ou le très célèbre Le Chien des Baskerville. Après avoir dévoré tous les romans du célèbre limier, nous vous aidons à rassasier votre soif d'énigmes avec nos autres auteurs à succès. Agatha Christie et Le Crime de l'Orient-Express, Patricia Cornwell et son Vent de glace ou encore Remède mortel d'Harlan Coben... voici quelques titres particulièrement appréciés de notre communauté de lecteurs qui vous captivent jusqu'au bout de la nuit.
La compagnie blanche
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- Nombre de pages412
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.495 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 2,7 cm
- ISBN2-85940-376-0
- EAN9782859403768
- Date de parution01/01/1995
- CollectionD'aujourd'hui. Etranger
- ÉditeurPhébus (Editions)
Résumé
" Le meilleur roman historique depuis Ivanhoé " : tel fut l'accueil de la critique à la sortie de ce livre (1890) que Conon Doyle considérait - avec Sir Nigel, qui lui fait suite à sa façon - comme son œuvre la mieux inspirée, regrettant seulement que le succès de la série des " Sherlock Holmes " lui ait porté quelque ombrage. Quel régal, au surplus, pour des lecteurs français, que d'entendre la guerre de Cent ans racontée par un Anglais ! Et par un Anglais dûment frotté de Chaucer et de Shakespeare. A suivre Sir Nigel et les trois cents archers de la légendaire Compagnie à travers Rouergue, Quercy, Guyenne et Gascogne - alors terres anglaises -, c'est un autre Moyen Age que nous découvrons : traité à l'anglo-saxonne, c'est-à-dire avec ce mélange d'érudition, de passion chevaleresque et de liberté aventureuse que nos voisins d'Outre-Manche, à la suite de Walter Scott et de Stevenson, ont su miraculeusement préserver.
La guerre est là, bien sûr, mais aussi la passion amoureuse, les joutes entre chevaliers - sur la lice de Bordeaux -, les repues franches... Des personnages historiques croisent la route de nos héros endiablés. Ils ont nom Edouard III Plantagenêt, le Prince Noir, Pedro le Cruel, Bertrand Du Guesclin ou Tiphane Raguenel. On assiste à la révolte de Jacques Bonhomme en Auvergne, à un combat naval dans la Manche, à des batailles rangées, à des duels, des concours de tir à l'arc... Le tout emporté par une verve et des dialogues ferraillants qui confèrent à cette fresque un relief, une verdeur, une " vie " hautement jubilatoires.
" Le meilleur roman historique depuis Ivanhoé " : tel fut l'accueil de la critique à la sortie de ce livre (1890) que Conon Doyle considérait - avec Sir Nigel, qui lui fait suite à sa façon - comme son œuvre la mieux inspirée, regrettant seulement que le succès de la série des " Sherlock Holmes " lui ait porté quelque ombrage. Quel régal, au surplus, pour des lecteurs français, que d'entendre la guerre de Cent ans racontée par un Anglais ! Et par un Anglais dûment frotté de Chaucer et de Shakespeare. A suivre Sir Nigel et les trois cents archers de la légendaire Compagnie à travers Rouergue, Quercy, Guyenne et Gascogne - alors terres anglaises -, c'est un autre Moyen Age que nous découvrons : traité à l'anglo-saxonne, c'est-à-dire avec ce mélange d'érudition, de passion chevaleresque et de liberté aventureuse que nos voisins d'Outre-Manche, à la suite de Walter Scott et de Stevenson, ont su miraculeusement préserver.
La guerre est là, bien sûr, mais aussi la passion amoureuse, les joutes entre chevaliers - sur la lice de Bordeaux -, les repues franches... Des personnages historiques croisent la route de nos héros endiablés. Ils ont nom Edouard III Plantagenêt, le Prince Noir, Pedro le Cruel, Bertrand Du Guesclin ou Tiphane Raguenel. On assiste à la révolte de Jacques Bonhomme en Auvergne, à un combat naval dans la Manche, à des batailles rangées, à des duels, des concours de tir à l'arc... Le tout emporté par une verve et des dialogues ferraillants qui confèrent à cette fresque un relief, une verdeur, une " vie " hautement jubilatoires.