La Civilisation des Arabes

Note moyenne 
Gustave Le Bon - La Civilisation des Arabes.
Les Arabes, leur histoire, les différents aspects de leur civilisation, leur apport au développement des sciences, des arts et des lettres, autant de... Lire la suite
20,00 € Neuf
Actuellement indisponible

Résumé

Les Arabes, leur histoire, les différents aspects de leur civilisation, leur apport au développement des sciences, des arts et des lettres, autant de thèmes traités magistralement par l'auteur. Ce livre édité au début de la moitié du XXe siècle, fit l'effet d'une bombe en révélant à l'Occident un monde qu'il méconnaissait ou qu'il voulait ignorer. D'ailleurs qui n'a entendu parler de ce livre qui demeure toujours actuel ?

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/07/2014
  • Editeur
  • ISBN
    978-9961-64-771-4
  • EAN
    9789961647714
  • Présentation
    Cartonné
  • Nb. de pages
    576 pages
  • Poids
    0.333 Kg
  • Dimensions
    16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Gustave Le Bon

Né en 1841 à Nogent-le-Rotrou, où son père était conservateur des hypothèques, Gustave Le Bon fit ses études au lycée de Tours, puis à la faculté de médecine à Paris, où il obtient le titre de docteur en médecine en 1866. Il parcourut l'Europe, l'Asie et l'Afrique du Nord entre les années 1860 et 1880. Il écrivit des récits de voyage, des ouvrages d'archéologie et d'anthropologie sur les civilisations de l'Orient et participa au comité d'organisation des expositions universelles.
En 1879, il fit une entrée remarquée au sein de la Société d'Anthropologie de Paris qui lui décerna l'année suivante le prix Godard pour son mémoire Recherches anatomiques et mathématiques sur les lois de variation du volume du cerveau et sur leur relation avec l'intelligence. En 1888, il démissionne et rompt tout contact avec cette société peu ouverte aux approches psycho-sociologiques novatrices de Le Bon pour lequel "il n'y a pas de races pures dans les pays civilisés" (L'homme et les sociétés, 1881) et qui entend le terme de "race", à l'instar de Taine ou Renan, comme un synonyme de "peuple", c'est-à-dire "un agrégat d'hommes appartenant au même milieu et partageant la même culture (langue, tradition, religion, histoire, coutumes vestimentaires, alimentaires, etc)".
"Les classifications uniquement fondées sur la couleur de la peau ou sur la couleur des cheveux n'ont guère plus de valeur que celles qui consisteraient à classer les chiens d'après la couleur ou la forme des poils, divisant, par exemple, ces derniers en chiens noirs, chiens blancs, chiens rouges, chiens frisés, etc." (L'homme et les sociétés). Au chapitre de la colonisation, Le Bon partage avec l'anthropologue Louis Armand de Quatre fages de Bréau une position hétérodoxe : le rôle de la puissance colonisatrice devait se borner à maintenir la paix et la stabilité, à prélever un tribut, à nouer ou à développer des relations commerciales, mais en aucun cas ne doit s'arroger le droit d'imposer sa civilisation à des populations réticentes.
Son premier grand succès de librairie en sciences sociales est la publication en 1894 des Lois psychologiques de l'évolution des peuples, ouvrage qui se réfère aux lois de l'évolution darwinienne en les étendant de la physiologie à la psycho-sociologie. L'année suivante, il écrit Psychologie des Foules, pour lequel il fut félicité par Mussolini (lettres conservées par l'Association des Amis de Gustave le Bon).

Du même auteur

Les clients ont également aimé

Derniers produits consultés