En s'appropriant une vision non-orthodoxe de l'urbanisme, Alejo Carpentier nous invite à une promenade poétique dans les rues de La Havane. Colonnes, portes, grilles et portails s'érigent en vestiges du long travail de l'histoire cubaine – ses invasions et métissages – et de celle des Havanais peuplant une rue "bavarde, indiscrète" et des maisons "enfermées sur leur propre pénombre".
En s'appropriant une vision non-orthodoxe de l'urbanisme, Alejo Carpentier nous invite à une promenade poétique dans les rues de La Havane. Colonnes, portes, grilles et portails s'érigent en vestiges du long travail de l'histoire cubaine – ses invasions et métissages – et de celle des Havanais peuplant une rue "bavarde, indiscrète" et des maisons "enfermées sur leur propre pénombre".