La cité dans le tunnel
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions16,0 cm × 23,0 cm × 0,2 cm
- ISBN2-84253-742-4
- EAN9782842537425
- Date de parution01/07/2005
- CollectionTémoignages et récits
- ÉditeurSutton éditions
Résumé
De juin 1936 à septembre 1951, le principal quotidien imprimé à Châteauroux eut à Issoudun le même correspondant : Pierre-Valentin Berthier. Titre et contenu de l'organe castelroussin changèrent selon les circonstances, mais, quinze années durant, le Journal du département de l'Indre, le Département et la Marseillaise du Berry reçurent de Pierre-Valentin Berthier, secondé par Suzanne sa femme à partir de 1941, les informations de la chronique issoldunoise.
Pierre-Valentin Berthier n'a jamais fait allégeance aux opinions ni aux régimes soutenus par les journaux dont il fut à Issoudun le localier. Dans le même temps, il n'a pas cessé de défendre ses propres convictions dans la presse pacifiste et libertaire, sauf, évidemment, pendant les années de ténèbres où le pouvoir la supprima. Ces années de guerre et de dictature, une population tenue pour sujette les vécut et les souffrit comme dans l'ombre accablante d'un tunnel, attendant le réveil et l'aube.
La censure, institut d'abord militaire puis administratif du mensonge, ne lui donnait à lire qu'une presse atrophiée. Des faits interdits de publication, ou présentés tendancieusement, Pierre-Valentin Berthier en a noté alors bon nombre, et il a réuni dans ce recueil quelques-uns des plus caractéristiques. Outre leur valeur de témoignage immédiat, la plupart offrent une signification plus générale.
Il en est d'infiniment pittoresques, il en est aussi de dramatiques. Par bonheur, la vieille cité balzacienne d'Armand Pérémé et d'Alfred Leconte a resurgi bien vivante du tunnel. C'est qu'à travers ce passage obscur de son histoire elle a toujours gardé et toujours cultivé un solide instinct de résistance et une foi sans faille en la liberté.
Pierre-Valentin Berthier n'a jamais fait allégeance aux opinions ni aux régimes soutenus par les journaux dont il fut à Issoudun le localier. Dans le même temps, il n'a pas cessé de défendre ses propres convictions dans la presse pacifiste et libertaire, sauf, évidemment, pendant les années de ténèbres où le pouvoir la supprima. Ces années de guerre et de dictature, une population tenue pour sujette les vécut et les souffrit comme dans l'ombre accablante d'un tunnel, attendant le réveil et l'aube.
La censure, institut d'abord militaire puis administratif du mensonge, ne lui donnait à lire qu'une presse atrophiée. Des faits interdits de publication, ou présentés tendancieusement, Pierre-Valentin Berthier en a noté alors bon nombre, et il a réuni dans ce recueil quelques-uns des plus caractéristiques. Outre leur valeur de témoignage immédiat, la plupart offrent une signification plus générale.
Il en est d'infiniment pittoresques, il en est aussi de dramatiques. Par bonheur, la vieille cité balzacienne d'Armand Pérémé et d'Alfred Leconte a resurgi bien vivante du tunnel. C'est qu'à travers ce passage obscur de son histoire elle a toujours gardé et toujours cultivé un solide instinct de résistance et une foi sans faille en la liberté.
De juin 1936 à septembre 1951, le principal quotidien imprimé à Châteauroux eut à Issoudun le même correspondant : Pierre-Valentin Berthier. Titre et contenu de l'organe castelroussin changèrent selon les circonstances, mais, quinze années durant, le Journal du département de l'Indre, le Département et la Marseillaise du Berry reçurent de Pierre-Valentin Berthier, secondé par Suzanne sa femme à partir de 1941, les informations de la chronique issoldunoise.
Pierre-Valentin Berthier n'a jamais fait allégeance aux opinions ni aux régimes soutenus par les journaux dont il fut à Issoudun le localier. Dans le même temps, il n'a pas cessé de défendre ses propres convictions dans la presse pacifiste et libertaire, sauf, évidemment, pendant les années de ténèbres où le pouvoir la supprima. Ces années de guerre et de dictature, une population tenue pour sujette les vécut et les souffrit comme dans l'ombre accablante d'un tunnel, attendant le réveil et l'aube.
La censure, institut d'abord militaire puis administratif du mensonge, ne lui donnait à lire qu'une presse atrophiée. Des faits interdits de publication, ou présentés tendancieusement, Pierre-Valentin Berthier en a noté alors bon nombre, et il a réuni dans ce recueil quelques-uns des plus caractéristiques. Outre leur valeur de témoignage immédiat, la plupart offrent une signification plus générale.
Il en est d'infiniment pittoresques, il en est aussi de dramatiques. Par bonheur, la vieille cité balzacienne d'Armand Pérémé et d'Alfred Leconte a resurgi bien vivante du tunnel. C'est qu'à travers ce passage obscur de son histoire elle a toujours gardé et toujours cultivé un solide instinct de résistance et une foi sans faille en la liberté.
Pierre-Valentin Berthier n'a jamais fait allégeance aux opinions ni aux régimes soutenus par les journaux dont il fut à Issoudun le localier. Dans le même temps, il n'a pas cessé de défendre ses propres convictions dans la presse pacifiste et libertaire, sauf, évidemment, pendant les années de ténèbres où le pouvoir la supprima. Ces années de guerre et de dictature, une population tenue pour sujette les vécut et les souffrit comme dans l'ombre accablante d'un tunnel, attendant le réveil et l'aube.
La censure, institut d'abord militaire puis administratif du mensonge, ne lui donnait à lire qu'une presse atrophiée. Des faits interdits de publication, ou présentés tendancieusement, Pierre-Valentin Berthier en a noté alors bon nombre, et il a réuni dans ce recueil quelques-uns des plus caractéristiques. Outre leur valeur de témoignage immédiat, la plupart offrent une signification plus générale.
Il en est d'infiniment pittoresques, il en est aussi de dramatiques. Par bonheur, la vieille cité balzacienne d'Armand Pérémé et d'Alfred Leconte a resurgi bien vivante du tunnel. C'est qu'à travers ce passage obscur de son histoire elle a toujours gardé et toujours cultivé un solide instinct de résistance et une foi sans faille en la liberté.