La circulation du sang. Entre Orient et Occident, histoire d'une découverte
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- Nombre de pages175
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.354 kg
- Dimensions15,2 cm × 21,1 cm × 1,1 cm
- ISBN979-10-303-0400-8
- EAN9791030304008
- Date de parution29/06/2023
- ÉditeurSauramps Médical
Résumé
A l'image de l'histoire des sciences, celle de la connaissance de la circulation sanguine est le fruit de siècle de tâtonnement, d'avancées, de transmissions et parfois de reculs. Entre Alcmaion de Crotone, le Grec qui distingue veine et artère au VIe siècle av. J. -C. , et les avancées considérables en cardiologie au XXe siècle, il y a eu les thèses erronées du Gréco-Romain Galien, la découverte méconnue d'Ibn al Nafis de la petite circulation du sang au XIIIe siècle et l'apport lumineux de l'Anglais Havey au XVIIe siècle.
Un long cheminement dans lequel se relient trois chaînes de savoirs, trois espaces historiques, géographiques, culturels et linguistiques : la Grèce antique, le monde arabo-musulman et la chrétienté latine d'Occident. Si la science moderne a pu exister, c'est notamment grâce aux savoirs grecs que les Arabes ont traduits, enrichis puis transmis à l'Occident médiéval. L'ouvrage retrace cette histoire scientifique et médicale, qui est aussi celle des idées et des civilisations.
Il permet ainsi de s'interroger sur les conditions propices au développement de la science et sur son rapport étroit avec la religion.
Un long cheminement dans lequel se relient trois chaînes de savoirs, trois espaces historiques, géographiques, culturels et linguistiques : la Grèce antique, le monde arabo-musulman et la chrétienté latine d'Occident. Si la science moderne a pu exister, c'est notamment grâce aux savoirs grecs que les Arabes ont traduits, enrichis puis transmis à l'Occident médiéval. L'ouvrage retrace cette histoire scientifique et médicale, qui est aussi celle des idées et des civilisations.
Il permet ainsi de s'interroger sur les conditions propices au développement de la science et sur son rapport étroit avec la religion.
A l'image de l'histoire des sciences, celle de la connaissance de la circulation sanguine est le fruit de siècle de tâtonnement, d'avancées, de transmissions et parfois de reculs. Entre Alcmaion de Crotone, le Grec qui distingue veine et artère au VIe siècle av. J. -C. , et les avancées considérables en cardiologie au XXe siècle, il y a eu les thèses erronées du Gréco-Romain Galien, la découverte méconnue d'Ibn al Nafis de la petite circulation du sang au XIIIe siècle et l'apport lumineux de l'Anglais Havey au XVIIe siècle.
Un long cheminement dans lequel se relient trois chaînes de savoirs, trois espaces historiques, géographiques, culturels et linguistiques : la Grèce antique, le monde arabo-musulman et la chrétienté latine d'Occident. Si la science moderne a pu exister, c'est notamment grâce aux savoirs grecs que les Arabes ont traduits, enrichis puis transmis à l'Occident médiéval. L'ouvrage retrace cette histoire scientifique et médicale, qui est aussi celle des idées et des civilisations.
Il permet ainsi de s'interroger sur les conditions propices au développement de la science et sur son rapport étroit avec la religion.
Un long cheminement dans lequel se relient trois chaînes de savoirs, trois espaces historiques, géographiques, culturels et linguistiques : la Grèce antique, le monde arabo-musulman et la chrétienté latine d'Occident. Si la science moderne a pu exister, c'est notamment grâce aux savoirs grecs que les Arabes ont traduits, enrichis puis transmis à l'Occident médiéval. L'ouvrage retrace cette histoire scientifique et médicale, qui est aussi celle des idées et des civilisations.
Il permet ainsi de s'interroger sur les conditions propices au développement de la science et sur son rapport étroit avec la religion.