La chronologie de l'histoire des Hospitaliers. Ordre de Saint - Jean - de - Jérusalem, de Rhodes et de Malte
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- Nombre de pages384
- PrésentationBroché
- Poids0.585 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 3,1 cm
- ISBN2-35165-023-9
- EAN9782351650233
- Date de parution01/03/2006
- ÉditeurPrivilèges Atlantica
Résumé
Juillet 1099. Tandis que les croisés rescapés prennent d'assaut Jérusalem, qu'ils mettent à sac dans leur folie meurtrière, frère Gérard, déjà appelé " l'hospitalier ", poursuit inlassablement son œuvre de bienfaisance en plein cœur de la tourmente, des massacres et des incendies. Soigner malades et blessés des deux camps, telle est la mission qu'il s'est imposée. Ainsi naît la première association d'aide humanitaire ; l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Des combats en Terre sainte aux batailles navales en Méditerranée, cette fresque narre le parcours de l'Ordre au fil des siècles. Les chevaliers-soldats jurent de ne jamais reculer, de combattre à un contre trois, de ne jamais se rendre, de ne jamais baisser la bannière de l'Ordre. Devenus moines-marins, ils sont de toutes les batailles et redoutés des plus illustres corsaires et pirates. Et s'ils en sortent vainqueurs, ce n'est souvent qu'au prix du sacrifice de nombre d'entre eux.
Juin 1565. Au lever du soleil, jour de la Saint-Jean, fête de l'Ordre des moines et de leur saint patron, un spectacle odieux attend les assiégés du fort Saint-Ange. Ils découvrent, flottant sur le chenal, cloués à des pièces de bois, les cadavres de leurs frères morts au Saint-Elme. Les Turcs les ont revêtus de leur soubreveste rouge de combat mais, au-dessous, les Hospitaliers ont la poitrine ouverte en forme de croix.
Tous ont le cœur arraché, la tête tranchée.
Des combats en Terre sainte aux batailles navales en Méditerranée, cette fresque narre le parcours de l'Ordre au fil des siècles. Les chevaliers-soldats jurent de ne jamais reculer, de combattre à un contre trois, de ne jamais se rendre, de ne jamais baisser la bannière de l'Ordre. Devenus moines-marins, ils sont de toutes les batailles et redoutés des plus illustres corsaires et pirates. Et s'ils en sortent vainqueurs, ce n'est souvent qu'au prix du sacrifice de nombre d'entre eux.
Juin 1565. Au lever du soleil, jour de la Saint-Jean, fête de l'Ordre des moines et de leur saint patron, un spectacle odieux attend les assiégés du fort Saint-Ange. Ils découvrent, flottant sur le chenal, cloués à des pièces de bois, les cadavres de leurs frères morts au Saint-Elme. Les Turcs les ont revêtus de leur soubreveste rouge de combat mais, au-dessous, les Hospitaliers ont la poitrine ouverte en forme de croix.
Tous ont le cœur arraché, la tête tranchée.
Juillet 1099. Tandis que les croisés rescapés prennent d'assaut Jérusalem, qu'ils mettent à sac dans leur folie meurtrière, frère Gérard, déjà appelé " l'hospitalier ", poursuit inlassablement son œuvre de bienfaisance en plein cœur de la tourmente, des massacres et des incendies. Soigner malades et blessés des deux camps, telle est la mission qu'il s'est imposée. Ainsi naît la première association d'aide humanitaire ; l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Des combats en Terre sainte aux batailles navales en Méditerranée, cette fresque narre le parcours de l'Ordre au fil des siècles. Les chevaliers-soldats jurent de ne jamais reculer, de combattre à un contre trois, de ne jamais se rendre, de ne jamais baisser la bannière de l'Ordre. Devenus moines-marins, ils sont de toutes les batailles et redoutés des plus illustres corsaires et pirates. Et s'ils en sortent vainqueurs, ce n'est souvent qu'au prix du sacrifice de nombre d'entre eux.
Juin 1565. Au lever du soleil, jour de la Saint-Jean, fête de l'Ordre des moines et de leur saint patron, un spectacle odieux attend les assiégés du fort Saint-Ange. Ils découvrent, flottant sur le chenal, cloués à des pièces de bois, les cadavres de leurs frères morts au Saint-Elme. Les Turcs les ont revêtus de leur soubreveste rouge de combat mais, au-dessous, les Hospitaliers ont la poitrine ouverte en forme de croix.
Tous ont le cœur arraché, la tête tranchée.
Des combats en Terre sainte aux batailles navales en Méditerranée, cette fresque narre le parcours de l'Ordre au fil des siècles. Les chevaliers-soldats jurent de ne jamais reculer, de combattre à un contre trois, de ne jamais se rendre, de ne jamais baisser la bannière de l'Ordre. Devenus moines-marins, ils sont de toutes les batailles et redoutés des plus illustres corsaires et pirates. Et s'ils en sortent vainqueurs, ce n'est souvent qu'au prix du sacrifice de nombre d'entre eux.
Juin 1565. Au lever du soleil, jour de la Saint-Jean, fête de l'Ordre des moines et de leur saint patron, un spectacle odieux attend les assiégés du fort Saint-Ange. Ils découvrent, flottant sur le chenal, cloués à des pièces de bois, les cadavres de leurs frères morts au Saint-Elme. Les Turcs les ont revêtus de leur soubreveste rouge de combat mais, au-dessous, les Hospitaliers ont la poitrine ouverte en forme de croix.
Tous ont le cœur arraché, la tête tranchée.