La christologie du bienheureux Jean Duns Scot, L'Immaculée Conception et l'avenir de l'Eglise. Note complémentaire à propos du péché originel

Par : Claude Tresmontant
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  • Nombre de pages108
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-86839-447-7
  • EAN9782868394477
  • Date de parution26/11/1996
  • CollectionCahiers de métaphysique et de
  • ÉditeurGuibert (François-Xavier de)

Résumé

Le monothéisme hébreu est une métaphysique selon laquelle l'Univers est une Création qui est en cours, inachevée, et tendue vers un terme qui est sa finalité ultime. Selon la branche chrétienne du monothéisme hébreu, cette finalité ultime de la Création se réalise en la personne de celui qui s'appelle lui-même, en hébreu, le ben adam, le fils de l'Homme - qui appelle Dieu : mon père - et que Dieu appelle : mon fils.
Le bienheureux Jean Duns Scot, mort à Cologne en 1308, a eu le mérite de reprendre le problème en métaphysicien de grande race qu'il était. Celui en qui se réalise la finalité ultime de la Création, il est le premier voulu, le premier visé, le premier pensé. Et les conditions métaphysiques de la réalisation de ce dessein, lorsqu'elles sont analysées, laissent apercevoir qu'il existe une préparation, une pré-adaptation, de chaque étape de la Création à l'étape ultérieure.
Ainsi le peuple hébreu tout entier a-t-il été, par création, et donc par grâce, préparé, pré-adapté, pendant des siècles, pour être capable de recevoir, d'assimiler, de porter l'information créatrice qui vient de l'Unique. Ainsi une jeune fille, en Israël, a-t-elle été, par création, et donc par grâce, préparée, pré-adaptée, pré-sanctifiée, pour consentir à recevoir, à porter, celui en qui l'information créatrice de l'Unique est tout entière présente, comme dans un Germe, le Germe de la nouvelle Création.
Le monothéisme hébreu est une métaphysique selon laquelle l'Univers est une Création qui est en cours, inachevée, et tendue vers un terme qui est sa finalité ultime. Selon la branche chrétienne du monothéisme hébreu, cette finalité ultime de la Création se réalise en la personne de celui qui s'appelle lui-même, en hébreu, le ben adam, le fils de l'Homme - qui appelle Dieu : mon père - et que Dieu appelle : mon fils.
Le bienheureux Jean Duns Scot, mort à Cologne en 1308, a eu le mérite de reprendre le problème en métaphysicien de grande race qu'il était. Celui en qui se réalise la finalité ultime de la Création, il est le premier voulu, le premier visé, le premier pensé. Et les conditions métaphysiques de la réalisation de ce dessein, lorsqu'elles sont analysées, laissent apercevoir qu'il existe une préparation, une pré-adaptation, de chaque étape de la Création à l'étape ultérieure.
Ainsi le peuple hébreu tout entier a-t-il été, par création, et donc par grâce, préparé, pré-adapté, pendant des siècles, pour être capable de recevoir, d'assimiler, de porter l'information créatrice qui vient de l'Unique. Ainsi une jeune fille, en Israël, a-t-elle été, par création, et donc par grâce, préparée, pré-adaptée, pré-sanctifiée, pour consentir à recevoir, à porter, celui en qui l'information créatrice de l'Unique est tout entière présente, comme dans un Germe, le Germe de la nouvelle Création.