La Chine et la mer. Sécurité et coopération régionale en Asie orientale et du Sud-Est
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.355 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-296-56394-0
- EAN9782296563940
- Date de parution01/11/2011
- CollectionInter-National
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'avenir du pays du Milieu est offshore, au-delà du rivage. La
Chine d'aujourd'hui est en effet très largement tournée vers la
mer, par demi-cercles concentriques : l'espace maritime
proche apparaît complexe, depuis la mer Jaune au nord, qui la
sépare de la péninsule coréenne, à la mer de Chine
méridionale au sud, qui la met en contact avec presque tous les
pays d'Asie du Sud-Est ; ensuite viennent les espaces
océaniques, Pacifique et de plus en plus Indien, où se
manifeste la montée en puissance d'un pays qui contribue
fortement à rééquilibrer l'économie mondiale au profit de
l'Asie ; au-delà s'offre le reste du monde.
Sur la durée, de la guerre de l'opium aux manoeuvres navales à tirs réels autour de Taiwan, cette interface composée du littoral et des mers proches apparaît marquée par les conflits. Malgré sa brièveté, le plus récent — la crise des détroits de 1958 — a suggéré la violence mobilisable et la détermination des acteurs. Mais, depuis la fin du maoïsme et de la guerre froide, la Chine trouve son élan économique par et sur la mer.
Les enjeux balaient tous les secteurs : sécuritaires, mais aussi technologiques, énergétiques, commerciaux, le long d'une façade maritime qui s'adapte à vue d'oeil. Les lieux de tension demeurent, et cet aspect des choses fait l'originalité de la situation: les vieilles querelles de voisinage se nourrissent de calculs planétaires. Une poudrière maritime? Pas nécessairement, mais le risque demeure !
Sur la durée, de la guerre de l'opium aux manoeuvres navales à tirs réels autour de Taiwan, cette interface composée du littoral et des mers proches apparaît marquée par les conflits. Malgré sa brièveté, le plus récent — la crise des détroits de 1958 — a suggéré la violence mobilisable et la détermination des acteurs. Mais, depuis la fin du maoïsme et de la guerre froide, la Chine trouve son élan économique par et sur la mer.
Les enjeux balaient tous les secteurs : sécuritaires, mais aussi technologiques, énergétiques, commerciaux, le long d'une façade maritime qui s'adapte à vue d'oeil. Les lieux de tension demeurent, et cet aspect des choses fait l'originalité de la situation: les vieilles querelles de voisinage se nourrissent de calculs planétaires. Une poudrière maritime? Pas nécessairement, mais le risque demeure !
L'avenir du pays du Milieu est offshore, au-delà du rivage. La
Chine d'aujourd'hui est en effet très largement tournée vers la
mer, par demi-cercles concentriques : l'espace maritime
proche apparaît complexe, depuis la mer Jaune au nord, qui la
sépare de la péninsule coréenne, à la mer de Chine
méridionale au sud, qui la met en contact avec presque tous les
pays d'Asie du Sud-Est ; ensuite viennent les espaces
océaniques, Pacifique et de plus en plus Indien, où se
manifeste la montée en puissance d'un pays qui contribue
fortement à rééquilibrer l'économie mondiale au profit de
l'Asie ; au-delà s'offre le reste du monde.
Sur la durée, de la guerre de l'opium aux manoeuvres navales à tirs réels autour de Taiwan, cette interface composée du littoral et des mers proches apparaît marquée par les conflits. Malgré sa brièveté, le plus récent — la crise des détroits de 1958 — a suggéré la violence mobilisable et la détermination des acteurs. Mais, depuis la fin du maoïsme et de la guerre froide, la Chine trouve son élan économique par et sur la mer.
Les enjeux balaient tous les secteurs : sécuritaires, mais aussi technologiques, énergétiques, commerciaux, le long d'une façade maritime qui s'adapte à vue d'oeil. Les lieux de tension demeurent, et cet aspect des choses fait l'originalité de la situation: les vieilles querelles de voisinage se nourrissent de calculs planétaires. Une poudrière maritime? Pas nécessairement, mais le risque demeure !
Sur la durée, de la guerre de l'opium aux manoeuvres navales à tirs réels autour de Taiwan, cette interface composée du littoral et des mers proches apparaît marquée par les conflits. Malgré sa brièveté, le plus récent — la crise des détroits de 1958 — a suggéré la violence mobilisable et la détermination des acteurs. Mais, depuis la fin du maoïsme et de la guerre froide, la Chine trouve son élan économique par et sur la mer.
Les enjeux balaient tous les secteurs : sécuritaires, mais aussi technologiques, énergétiques, commerciaux, le long d'une façade maritime qui s'adapte à vue d'oeil. Les lieux de tension demeurent, et cet aspect des choses fait l'originalité de la situation: les vieilles querelles de voisinage se nourrissent de calculs planétaires. Une poudrière maritime? Pas nécessairement, mais le risque demeure !