La chèvre et le chou. Débat entre un artisan fermier et un militant végane
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- Nombre de pages284
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.322 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,3 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-89719-821-3
- EAN9782897198213
- Date de parution17/02/2023
- ÉditeurEcosociété (Editions)
- PostfacierYves-Marie Abraham
- IllustrateurMarc Séguin
Résumé
Dans le coin gauche, un artisan fermier. Dans le coin droit, un militant végane. Entre les deux, mille et une questions âprement débattues. Comment évaluer les conséquences de nos choix alimentaires sur les écosystèmes, sur les animaux, sur les humains ? Est-il moral d'exploiter (pour leurs oeufs, leur lait ou leur force de travail) et de tuer (pour leur chair, leur peau ou leur fourrure) des êtres dotés de sentience, cette capacité à ressentir, à percevoir et à être conscient ? Adopter une régime alimentaire végane permet-il d'être en bonne santé et de sauver la planète ? Quel type d'agriculture est le plus susceptible de maintenir l'équilibre de la Terre ? Que disent la science et la philosophie sur ces sujets ? Très critique de l'industrie agroalimentaire, mais aussi très perplexe devant les actions posées par les militants de la cause animale, Dominic Lamontagne a voulu engager un dialogue avec un militant végane afin d'approfondir les enjeux liés à l'alimentation et à l'avenir de notre agriculture.
Sous forme d'échange épistolaire, il croise le fer avec Jean-François Dubé sur l'antispécisme et le véganisme autour de trois grands thèmes : l'éthique, la santé et l'environnement. Mais entre la paysannerie "omnicole" que défend Dominic et le véganisme éthique promu par Jean-François, les points de vue semblent irréconciliables. Si le repas entre les deux comparses est impossible, le débat, lui, est bien substantiel et il ne manque pas de mordant !
Sous forme d'échange épistolaire, il croise le fer avec Jean-François Dubé sur l'antispécisme et le véganisme autour de trois grands thèmes : l'éthique, la santé et l'environnement. Mais entre la paysannerie "omnicole" que défend Dominic et le véganisme éthique promu par Jean-François, les points de vue semblent irréconciliables. Si le repas entre les deux comparses est impossible, le débat, lui, est bien substantiel et il ne manque pas de mordant !
Dans le coin gauche, un artisan fermier. Dans le coin droit, un militant végane. Entre les deux, mille et une questions âprement débattues. Comment évaluer les conséquences de nos choix alimentaires sur les écosystèmes, sur les animaux, sur les humains ? Est-il moral d'exploiter (pour leurs oeufs, leur lait ou leur force de travail) et de tuer (pour leur chair, leur peau ou leur fourrure) des êtres dotés de sentience, cette capacité à ressentir, à percevoir et à être conscient ? Adopter une régime alimentaire végane permet-il d'être en bonne santé et de sauver la planète ? Quel type d'agriculture est le plus susceptible de maintenir l'équilibre de la Terre ? Que disent la science et la philosophie sur ces sujets ? Très critique de l'industrie agroalimentaire, mais aussi très perplexe devant les actions posées par les militants de la cause animale, Dominic Lamontagne a voulu engager un dialogue avec un militant végane afin d'approfondir les enjeux liés à l'alimentation et à l'avenir de notre agriculture.
Sous forme d'échange épistolaire, il croise le fer avec Jean-François Dubé sur l'antispécisme et le véganisme autour de trois grands thèmes : l'éthique, la santé et l'environnement. Mais entre la paysannerie "omnicole" que défend Dominic et le véganisme éthique promu par Jean-François, les points de vue semblent irréconciliables. Si le repas entre les deux comparses est impossible, le débat, lui, est bien substantiel et il ne manque pas de mordant !
Sous forme d'échange épistolaire, il croise le fer avec Jean-François Dubé sur l'antispécisme et le véganisme autour de trois grands thèmes : l'éthique, la santé et l'environnement. Mais entre la paysannerie "omnicole" que défend Dominic et le véganisme éthique promu par Jean-François, les points de vue semblent irréconciliables. Si le repas entre les deux comparses est impossible, le débat, lui, est bien substantiel et il ne manque pas de mordant !