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"Fouillant les bâtisses effondrées, tranchant le Temps disparu qui déployait ses ailes blanches, fouillant la mémoire d'une rame, là où nous finissons asphodèles le sang noirci, fouillant le songe d'une enfance désaccordée de notre chant dévorée dans le miroir du Temps, les vestiges conservent la douleur d'un sang de notre plaie, l'amertume a fait son travail nous expatriant d'une bouche rongée de rouille, nous laverons nos pieds blessés où dorment les crécelles".