La C.F.R.N.A.-C.I.D.N.A. première compagnie aérienne européenne 1920-1933. Aux origines d'Air France

Par : Maryla Boutineau
    • Nombre de pages226
    • PrésentationRelié
    • FormatGrand Format
    • Poids1.142 kg
    • Dimensions22,0 cm × 30,5 cm × 1,8 cm
    • ISBN978-2-84048-562-9
    • EAN9782840485629
    • Date de parution01/11/2020
    • ÉditeurHeimdal (Editions)
    • PréfacierAnne Rigail

    Résumé

    Le livre de Maryla Boutineau, consacré à la C.E R.N.A. - C.I.D.N.A., remet à l'honneur l'oeuvre d'hommes libres qui, grâce à leurs machines volantes, dépassèrent les frontières d'une Europe morcelée par la Grande Guerre et devinrent ainsi les véritables précurseurs de la coopération européenne. En 1933, ils déposèrent les fruits de leurs efforts sur les fonts baptismaux d'Air France. Au bout de quelques années, l'idée d'une Europe unifiée par l'aviation fut anéantie par la Seconde Guerre mondiale, puis les quatre décennies de Guerre froide firent tomber cette grande compagnie française dans l'oubli.
    Depuis, l'Europe a abattu les murs et ouvert les frontières, se rapprochant ainsi du rêve initié parla C.F.R.N.A. - C.I.D.N.A., il y a tout juste cent ans, et dont l'oeuvre mérite de retrouver toute sa place dans la mémoire collective.
    Le livre de Maryla Boutineau, consacré à la C.E R.N.A. - C.I.D.N.A., remet à l'honneur l'oeuvre d'hommes libres qui, grâce à leurs machines volantes, dépassèrent les frontières d'une Europe morcelée par la Grande Guerre et devinrent ainsi les véritables précurseurs de la coopération européenne. En 1933, ils déposèrent les fruits de leurs efforts sur les fonts baptismaux d'Air France. Au bout de quelques années, l'idée d'une Europe unifiée par l'aviation fut anéantie par la Seconde Guerre mondiale, puis les quatre décennies de Guerre froide firent tomber cette grande compagnie française dans l'oubli.
    Depuis, l'Europe a abattu les murs et ouvert les frontières, se rapprochant ainsi du rêve initié parla C.F.R.N.A. - C.I.D.N.A., il y a tout juste cent ans, et dont l'oeuvre mérite de retrouver toute sa place dans la mémoire collective.