La bioéthique
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- Nombre de pages283
- FormatPoche
- Poids0.185 kg
- Dimensions11,1 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-501-02878-3
- EAN9782501028783
- Date de parution30/09/1998
- Collectionle monde poche
- ÉditeurMarabout
Résumé
Au XVIe siècle, les anatomistes commencèrent à disséquer les corps morts; au XIXe, Claude Bernard se proposait d'ouvrir les vivants; à la fin du XXe siècle naissait le premier bébé éprouvette. Le besoin de connaissance, permanent et multiforme, est-il un risque? Les philosophes des Lumières, partagés sur la question, s'interrogèrent, à cette occasion, sur la place de l'éthique dans l'expérimentation scientifique. Depuis, il y eut la pratique de l'eugénisme organisée aussi bien par l'Etat nazi que par certaines démocraties, il y eut des embryons congelés et les clones d'animaux. La science a-t-elle tous les droits en matière de recherche alors que ses travaux engagent le devenir des humains? L'éthique a-t-elle le pouvoir de tracer des interdits aux activités de la connaissance ? Voilà des questions qui mettent d'abord en évidence l'inquiétude des sociétés humaines face à la science, face à une démarche qui transforme systématiquement le sujet pensant en objet à soigner, à améliorer, à transformer.
Au XVIe siècle, les anatomistes commencèrent à disséquer les corps morts; au XIXe, Claude Bernard se proposait d'ouvrir les vivants; à la fin du XXe siècle naissait le premier bébé éprouvette. Le besoin de connaissance, permanent et multiforme, est-il un risque? Les philosophes des Lumières, partagés sur la question, s'interrogèrent, à cette occasion, sur la place de l'éthique dans l'expérimentation scientifique. Depuis, il y eut la pratique de l'eugénisme organisée aussi bien par l'Etat nazi que par certaines démocraties, il y eut des embryons congelés et les clones d'animaux. La science a-t-elle tous les droits en matière de recherche alors que ses travaux engagent le devenir des humains? L'éthique a-t-elle le pouvoir de tracer des interdits aux activités de la connaissance ? Voilà des questions qui mettent d'abord en évidence l'inquiétude des sociétés humaines face à la science, face à une démarche qui transforme systématiquement le sujet pensant en objet à soigner, à améliorer, à transformer.





