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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.125 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-220-04731-8
  • EAN9782220047317
  • Date de parution25/03/2000
  • Collectionproches lointains
  • ÉditeurDDB

Résumé

Il y a une relation étroite entre la notion de beauté et celle de culture, d'esthétique et d'humanité. " Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre ", écrit Baudelaire en la personnifiant... Mais la beauté est-elle réellement accessible ? Comment se traduit-elle dans l'univers, chinois ou occidental ? Dans une perspective très originale, Zhu Cunming montre combien l'expérience de beauté est universelle, mais aussi profondément liée à celle de la laideur. En témoignent les bronzes des temples, les figures de dragon à la gueule énorme, comme autant de faces cachées du sentiment du beau... De son côté, Dominique Fernandez s'attache à définir la beauté comme expérience de l'ambiguïté. Plus que la cathédrale qui parle trop directement de Dieu, la musique, en particulier, évoque cet impalpable inaccessible. A partir du mythe d'Orphée, qui court dans la culture occidentale de Monteverdi à jean Cocteau, Dominique Fernandez poursuit la vérité de la beauté dans une réflexion éblouissante. Un grand plaisir de lecture et de culture.
Il y a une relation étroite entre la notion de beauté et celle de culture, d'esthétique et d'humanité. " Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre ", écrit Baudelaire en la personnifiant... Mais la beauté est-elle réellement accessible ? Comment se traduit-elle dans l'univers, chinois ou occidental ? Dans une perspective très originale, Zhu Cunming montre combien l'expérience de beauté est universelle, mais aussi profondément liée à celle de la laideur. En témoignent les bronzes des temples, les figures de dragon à la gueule énorme, comme autant de faces cachées du sentiment du beau... De son côté, Dominique Fernandez s'attache à définir la beauté comme expérience de l'ambiguïté. Plus que la cathédrale qui parle trop directement de Dieu, la musique, en particulier, évoque cet impalpable inaccessible. A partir du mythe d'Orphée, qui court dans la culture occidentale de Monteverdi à jean Cocteau, Dominique Fernandez poursuit la vérité de la beauté dans une réflexion éblouissante. Un grand plaisir de lecture et de culture.