La bataille de Mont-Saint-Jean. 6 & 7 juillet 1794
2e édition

Par : Lucien Cécille, Philippe Charlet, Jean-Jacques Pattyn
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages93
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions19,0 cm × 25,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-912994-55-4
  • EAN9782912994554
  • Date de parution01/01/2017
  • CollectionLes batailles oubliées
  • ÉditeurHistoric'one
  • PréfacierBernard Snoy
  • IllustrateurFlorent Vincent

Résumé

Si tout le monde connaît la bataille de Waterloo ou du Mont-Saint-Jean ou de la Belle-Alliance en 1815, peu de gens savent que ce lieu avait déjà vu s'affronter des armées françaises et coalisées en juillet 1794. Cette année-là, après avoir remporté un succès, somme toute limité, au cours de la bataille de Fleurus, l'armée française dite de Sambre-et-Meuse du général Jourdan poursuit le combat pour empêcher les forces de la première Coalition (Autriche, Hollande et Angleterre notamment) de marcher sur Paris.
Face à des armées disciplinées et bien approvisionnées, les "sans-culottes" font preuve d'audace et de courage et repoussent l'ennemi, parvenant non seulement à le mettre en déroute, mais aussi à s'emparer de Bruxelles et toute la Belgique, annexée plus tard à la France sous le nom de "départements réunis".
Si tout le monde connaît la bataille de Waterloo ou du Mont-Saint-Jean ou de la Belle-Alliance en 1815, peu de gens savent que ce lieu avait déjà vu s'affronter des armées françaises et coalisées en juillet 1794. Cette année-là, après avoir remporté un succès, somme toute limité, au cours de la bataille de Fleurus, l'armée française dite de Sambre-et-Meuse du général Jourdan poursuit le combat pour empêcher les forces de la première Coalition (Autriche, Hollande et Angleterre notamment) de marcher sur Paris.
Face à des armées disciplinées et bien approvisionnées, les "sans-culottes" font preuve d'audace et de courage et repoussent l'ennemi, parvenant non seulement à le mettre en déroute, mais aussi à s'emparer de Bruxelles et toute la Belgique, annexée plus tard à la France sous le nom de "départements réunis".