La bataille d'Anghiari

Par : Marie Cosnay

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  • Nombre de pages141
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-915995-10-7
  • EAN9782915995107
  • Date de parution15/04/2013
  • ÉditeurL'or des fous
  • IllustrateurMyrto Gondicas

Résumé

Quelques jours après le poème, Txabi quitte la maison familiale pour l'engagement révolutionnaire. Peut-être, ai-je lu chez Lorenzo Espinosa, résolvait-il ainsi les grandes souffrances de son âme adolescente. Entre l'absurdité de la vie et la lutte pour la liberté, il n'y a qu'un pas. Il fallait que la lutte fût absolue. Le destin n'est rien s'il ne possède dans le tapis, en image tressée, quelque mort exemplaire.
Marie Cosnay gratte l'Histoire comme certains grattent les murs du Palazzo Vecchio à la recherche de la fresque perdue. Elle trouve, enfouie, la poésie de Txabi Etxebarrieta, des bribes, des vues - mais pas l'ensemble de la scène. La bataille d'Anghiari eut lieu le 29 juin 1440, opposant Milanais et Florentins ; elle mobilisa onze mille soldats et dura quatre heures ; leur champ de bataille, un pont.
De cet affrontement, il ne reste rien dans la mémoire commune, rien, mise à part la représentation qu'en fit Léonard de Vinci (1504-1506). Cette image peinte sur le mur de la salle du Grand Conseil du Palazzo Vecchio de Florence a été recouverte par une fresque de Vasari. De l'oeuvre de Léonard, ont été conservées des études préparatoires dont aucune ne montre l'ensemble de la scène. La partie centrale appelée La Lutte pour l'étendard est connue par des copies : celle appelée Tavola Doria (anonyme, 1504-1506) et celle attribuée à Pierre Paul Rubens (1600-1608), tableau conservé au Louvre.
Quelques jours après le poème, Txabi quitte la maison familiale pour l'engagement révolutionnaire. Peut-être, ai-je lu chez Lorenzo Espinosa, résolvait-il ainsi les grandes souffrances de son âme adolescente. Entre l'absurdité de la vie et la lutte pour la liberté, il n'y a qu'un pas. Il fallait que la lutte fût absolue. Le destin n'est rien s'il ne possède dans le tapis, en image tressée, quelque mort exemplaire.
Marie Cosnay gratte l'Histoire comme certains grattent les murs du Palazzo Vecchio à la recherche de la fresque perdue. Elle trouve, enfouie, la poésie de Txabi Etxebarrieta, des bribes, des vues - mais pas l'ensemble de la scène. La bataille d'Anghiari eut lieu le 29 juin 1440, opposant Milanais et Florentins ; elle mobilisa onze mille soldats et dura quatre heures ; leur champ de bataille, un pont.
De cet affrontement, il ne reste rien dans la mémoire commune, rien, mise à part la représentation qu'en fit Léonard de Vinci (1504-1506). Cette image peinte sur le mur de la salle du Grand Conseil du Palazzo Vecchio de Florence a été recouverte par une fresque de Vasari. De l'oeuvre de Léonard, ont été conservées des études préparatoires dont aucune ne montre l'ensemble de la scène. La partie centrale appelée La Lutte pour l'étendard est connue par des copies : celle appelée Tavola Doria (anonyme, 1504-1506) et celle attribuée à Pierre Paul Rubens (1600-1608), tableau conservé au Louvre.
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