Qu’est ce que l’impossible, la vie est elle possible ou impossible quand on va avoir vingt ans et qu’on est étudiant japonais dans les années 68-69. Le narrateur est donc étudiant en littérature, il vit dans un foyer d’étudiant, est ami avec un garçon qui vient de se suicider et il va revoir l’amie de son ami. Murakami nous raconte la vie et les questionnements de ce jeune homme. Son rapport à la vie, aux autres et sa recherche de sa place dans la société.
De belles pages sur la vie, sur l’amitié, sur les questionnements face aux autres.
Ce qui est intéressant et captivant dans ce roman, que l’on soit au Japon, dans les années 60, on perçoit les mêmes questions existentielles du jeune homme.
J’ai été surprise de m’apercevoir que l’on pouvait avoir les mêmes lectures, écouter les mêmes chansons.
Murakami dresse des portraits attachants de ses personnages et l’on retrouve des thèmes si universels. Notre rapport aux autres, à la disparition d’êtres chers et de ce que l’on fait de nos souvenirs. Il faut continuer la vie malgré la perte d’êtres très chers et malgré une solitude si pesante.
De belles phrases poétiques, des dialogues font de ce roman un moment plaisant de lecture.
De belles descriptions de plats donnent aussi envie de connaître la cuisine japonais.
Après avoir dévoré les trois tomes de 1Q84, je trouve beaucoup de plaisir à découvrir les romans de cet auteur.
Qu’est ce que l’impossible, la vie est elle possible ou impossible quand on va avoir vingt ans et qu’on est étudiant japonais dans les années 68-69. Le narrateur est donc étudiant en littérature, il vit dans un foyer d’étudiant, est ami avec un garçon qui vient de se suicider et il va revoir l’amie de son ami. Murakami nous raconte la vie et les questionnements de ce jeune homme. Son rapport à la vie, aux autres et sa recherche de sa place dans la société.
De belles pages sur la vie, sur l’amitié, sur les questionnements face aux autres.
Ce qui est intéressant et captivant dans ce roman, que l’on soit au Japon, dans les années 60, on perçoit les mêmes questions existentielles du jeune homme.
J’ai été surprise de m’apercevoir que l’on pouvait avoir les mêmes lectures, écouter les mêmes chansons.
Murakami dresse des portraits attachants de ses personnages et l’on retrouve des thèmes si universels. Notre rapport aux autres, à la disparition d’êtres chers et de ce que l’on fait de nos souvenirs. Il faut continuer la vie malgré la perte d’êtres très chers et malgré une solitude si pesante.
De belles phrases poétiques, des dialogues font de ce roman un moment plaisant de lecture.
De belles descriptions de plats donnent aussi envie de connaître la cuisine japonais.
Après avoir dévoré les trois tomes de 1Q84, je trouve beaucoup de plaisir à découvrir les romans de cet auteur.
