François Place, né en 1957, a étudié à l'école des arts et industries graphiques Estienne à Paris, avant de travailler comme illustrateur, d'abord pour la publicité, puis pour l'édition jeunesse. En 1992, il passe à l'écriture de fiction avec un premier album remarqué «Les derniers géants», couronné par de nombreux prix. Son atlas imaginaire, «L'Atlas des géographes d'Orbæ», qui explore ving-six pays cartographiés comme des lettres de l'alphabet, est paru en trois tomes, entre 1996 et 2000. Il a reçu également plusieurs prix, dont un à la foire internationale de Bologne et un prix spécial "sorcières" décerné par les libraires jeunesse. Son dernier album, "La fille des batailles", a reçu le baobab du salon du livre de Montreuil. Ses albums parlent de l'ailleurs, des voyages, de la rencontre. Comme illustrateur, il a collaboré avec des auteurs comme Michael Morpurgo, Erik Lhomme, Timothée de Fombelle. Il a également travaillé pour le site internet jeunesse du musée du Louvre. En janvier 2010 est paru son premier roman "La douane volante".
La 2 CV, la nuit
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.143 kg
- Dimensions12,5 cm × 17,1 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-37385-065-9
- EAN9782373850659
- Date de parution30/08/2017
- CollectionCe que la vie signifie pour mo
- ÉditeurSonneur (Editions du)
Résumé
Avec comme à son habitude une bonne dose d'humour, et en tournant radicalement le dos à la nostalgie, François Place raconte les enchantements de ses jeunes années qui ont fait de lui un homme doué pour l'amitié. Tout petit déjà, François Place dessinait. Des récits de batailles, petits personnages en marche dans d'immenses paysages. En Corrèze, lors des vacances d'été dans la ferme de ses grands-parents, il trompe l'ennui qui (il l'avoue) parfois lui tombe dessus en s'attaquant aux vaches si impassibles, mais pas aux cochons, ils remuent trop.
Sa mémé, inquiète, agacée même, disait de lui : " On n'a pas idée d'être autant dans la lune. " Presque un extraterrestre le petit François... ou une graine d'artiste. Quelques années et albums plus tard, dont Les Derniers Géants , désormais légendaire, François Place a toujours ce regard émerveillé sur le monde. Un regard bienveillant, accueillant, amoureux. Dans La 2 CV, la nuit, l'artiste délaisse ses aquarelles, ses géographies fabuleuses, ses voyages au-delà du réel, le temps de jouer avec l'écriture et ses souvenirs de gamin de banlieue parachuté à la campagne.
Là où il a forgé son imaginaire d'illustrateur et de conteur. Là où il a appris le pouvoir des mots et du silence. Dire ce que la vie signifie pour lui, c'est raconter le petit monde grouillant de la ferme, les tontons, les tatas, tous de forts caractères ; les animaux ; les engins agricoles ; l'arrivée de la modernité ; les jeux ; les ripailles ; et la tendresse. C'est aussi nous emmener en voyage au coeur de son univers d'artiste.
Sa mémé, inquiète, agacée même, disait de lui : " On n'a pas idée d'être autant dans la lune. " Presque un extraterrestre le petit François... ou une graine d'artiste. Quelques années et albums plus tard, dont Les Derniers Géants , désormais légendaire, François Place a toujours ce regard émerveillé sur le monde. Un regard bienveillant, accueillant, amoureux. Dans La 2 CV, la nuit, l'artiste délaisse ses aquarelles, ses géographies fabuleuses, ses voyages au-delà du réel, le temps de jouer avec l'écriture et ses souvenirs de gamin de banlieue parachuté à la campagne.
Là où il a forgé son imaginaire d'illustrateur et de conteur. Là où il a appris le pouvoir des mots et du silence. Dire ce que la vie signifie pour lui, c'est raconter le petit monde grouillant de la ferme, les tontons, les tatas, tous de forts caractères ; les animaux ; les engins agricoles ; l'arrivée de la modernité ; les jeux ; les ripailles ; et la tendresse. C'est aussi nous emmener en voyage au coeur de son univers d'artiste.
Avec comme à son habitude une bonne dose d'humour, et en tournant radicalement le dos à la nostalgie, François Place raconte les enchantements de ses jeunes années qui ont fait de lui un homme doué pour l'amitié. Tout petit déjà, François Place dessinait. Des récits de batailles, petits personnages en marche dans d'immenses paysages. En Corrèze, lors des vacances d'été dans la ferme de ses grands-parents, il trompe l'ennui qui (il l'avoue) parfois lui tombe dessus en s'attaquant aux vaches si impassibles, mais pas aux cochons, ils remuent trop.
Sa mémé, inquiète, agacée même, disait de lui : " On n'a pas idée d'être autant dans la lune. " Presque un extraterrestre le petit François... ou une graine d'artiste. Quelques années et albums plus tard, dont Les Derniers Géants , désormais légendaire, François Place a toujours ce regard émerveillé sur le monde. Un regard bienveillant, accueillant, amoureux. Dans La 2 CV, la nuit, l'artiste délaisse ses aquarelles, ses géographies fabuleuses, ses voyages au-delà du réel, le temps de jouer avec l'écriture et ses souvenirs de gamin de banlieue parachuté à la campagne.
Là où il a forgé son imaginaire d'illustrateur et de conteur. Là où il a appris le pouvoir des mots et du silence. Dire ce que la vie signifie pour lui, c'est raconter le petit monde grouillant de la ferme, les tontons, les tatas, tous de forts caractères ; les animaux ; les engins agricoles ; l'arrivée de la modernité ; les jeux ; les ripailles ; et la tendresse. C'est aussi nous emmener en voyage au coeur de son univers d'artiste.
Sa mémé, inquiète, agacée même, disait de lui : " On n'a pas idée d'être autant dans la lune. " Presque un extraterrestre le petit François... ou une graine d'artiste. Quelques années et albums plus tard, dont Les Derniers Géants , désormais légendaire, François Place a toujours ce regard émerveillé sur le monde. Un regard bienveillant, accueillant, amoureux. Dans La 2 CV, la nuit, l'artiste délaisse ses aquarelles, ses géographies fabuleuses, ses voyages au-delà du réel, le temps de jouer avec l'écriture et ses souvenirs de gamin de banlieue parachuté à la campagne.
Là où il a forgé son imaginaire d'illustrateur et de conteur. Là où il a appris le pouvoir des mots et du silence. Dire ce que la vie signifie pour lui, c'est raconter le petit monde grouillant de la ferme, les tontons, les tatas, tous de forts caractères ; les animaux ; les engins agricoles ; l'arrivée de la modernité ; les jeux ; les ripailles ; et la tendresse. C'est aussi nous emmener en voyage au coeur de son univers d'artiste.