Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Contre les divisions qui, en 450-451, déchiraient les communautés à Rome comme en Afrique, Cyprien prêcha l'unitas : l'Eglise, locale et universelle,...
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Résumé
Contre les divisions qui, en 450-451, déchiraient les communautés à Rome comme en Afrique, Cyprien prêcha l'unitas : l'Eglise, locale et universelle, est unique et une. Mais l'unité - tâche à réaliser - est d'abord une grâce. En sa substance, l'Eglise est la présence même, face à un monde vieux et désarticulé, du Dieu unique et un. La vision de Cyprien, théologale et liturgique, adosse le mystère de l'Eglise au mystère de Dieu : par le ministère de l'évêque légitime, le corps ecclésial, dans l'eucharistie, s'unit au Christ souffrant et ressuscité, d'où jaillit la vie trinitaire. Le traité prend alors un relief singulier. S'il n'expose pas toute l'ecclésiologie de l'auteur, il éclaire sa pensée et son action, jusqu'en leur ambivalence : primat de l'amour, qui est Dieu, et exclusivisme, qui refuse aux dissidents le salut, offert seulement dans la communion catholique visible. L'intuition centrale du De unitate, retrouvée par les catholiques à Vatican II, est de nature à stimuler la méditation sur l'Eglise et (paradoxe ?) à favoriser le travail œcuménique.