L'Ouvrier mort. Une lecture de Edouard Pignon, L'Ouvrier mort, 1952 - Palais des Beaux-Arts, Lille
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- Nombre de pages76
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.152 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-37680-058-3
- EAN9782376800583
- Date de parution04/06/2021
- CollectionEkphrasis
- ÉditeurInvenit (Editions)
Résumé
En 1982, Edouard Pignon accueille dans son atelier un visiteur venu pour s'entretenir avec lui sur un tableau qu'il a réalisé trente ans plus tôt : L'Ouvrier mort ; son "Guernica", comme le disait son ami Picasso. Imaginée par Yannick Kujawa, la rencontre des deux hommes devant cette oeuvre sombre et saisissante fait naître un long monologue en forme d'intense et intime confession esthétique et politique.
Le peintre, enfant des mines, nous fait revivre les grands mouvements sociaux qui ont animé le bassin minier du nord de la France, jusqu'à parfois s'emparer du pays tout entier. Il s'en est souvenu en peignant ses scènes sociales, il s'en souvient encore. Même si le prolétariat, dans ces premières années Mitterrand, n'est plus ce qu'il était, l'idée communiste doit perdurer, au-delà de toute raison.
Etre repensée, au nom de la liberté de chacun, au nom de l'humanisme. Edouard Pignon nous livre ici les clés de sa pratique artistique et de ses puissantes scènes sociales : des toiles comme "une gueule, un gosier d'huile et de couleurs". Pour lui, peindre n'est qu'une autre manière de vivre. C'est être libre, refuser la propagande, les modes, pour vivre en résistance. C'est sentir et explorer l'existence dans toute sa matière.
Pour que quelque chose se libère, s'anime et se soulève avec dignité.
Le peintre, enfant des mines, nous fait revivre les grands mouvements sociaux qui ont animé le bassin minier du nord de la France, jusqu'à parfois s'emparer du pays tout entier. Il s'en est souvenu en peignant ses scènes sociales, il s'en souvient encore. Même si le prolétariat, dans ces premières années Mitterrand, n'est plus ce qu'il était, l'idée communiste doit perdurer, au-delà de toute raison.
Etre repensée, au nom de la liberté de chacun, au nom de l'humanisme. Edouard Pignon nous livre ici les clés de sa pratique artistique et de ses puissantes scènes sociales : des toiles comme "une gueule, un gosier d'huile et de couleurs". Pour lui, peindre n'est qu'une autre manière de vivre. C'est être libre, refuser la propagande, les modes, pour vivre en résistance. C'est sentir et explorer l'existence dans toute sa matière.
Pour que quelque chose se libère, s'anime et se soulève avec dignité.
En 1982, Edouard Pignon accueille dans son atelier un visiteur venu pour s'entretenir avec lui sur un tableau qu'il a réalisé trente ans plus tôt : L'Ouvrier mort ; son "Guernica", comme le disait son ami Picasso. Imaginée par Yannick Kujawa, la rencontre des deux hommes devant cette oeuvre sombre et saisissante fait naître un long monologue en forme d'intense et intime confession esthétique et politique.
Le peintre, enfant des mines, nous fait revivre les grands mouvements sociaux qui ont animé le bassin minier du nord de la France, jusqu'à parfois s'emparer du pays tout entier. Il s'en est souvenu en peignant ses scènes sociales, il s'en souvient encore. Même si le prolétariat, dans ces premières années Mitterrand, n'est plus ce qu'il était, l'idée communiste doit perdurer, au-delà de toute raison.
Etre repensée, au nom de la liberté de chacun, au nom de l'humanisme. Edouard Pignon nous livre ici les clés de sa pratique artistique et de ses puissantes scènes sociales : des toiles comme "une gueule, un gosier d'huile et de couleurs". Pour lui, peindre n'est qu'une autre manière de vivre. C'est être libre, refuser la propagande, les modes, pour vivre en résistance. C'est sentir et explorer l'existence dans toute sa matière.
Pour que quelque chose se libère, s'anime et se soulève avec dignité.
Le peintre, enfant des mines, nous fait revivre les grands mouvements sociaux qui ont animé le bassin minier du nord de la France, jusqu'à parfois s'emparer du pays tout entier. Il s'en est souvenu en peignant ses scènes sociales, il s'en souvient encore. Même si le prolétariat, dans ces premières années Mitterrand, n'est plus ce qu'il était, l'idée communiste doit perdurer, au-delà de toute raison.
Etre repensée, au nom de la liberté de chacun, au nom de l'humanisme. Edouard Pignon nous livre ici les clés de sa pratique artistique et de ses puissantes scènes sociales : des toiles comme "une gueule, un gosier d'huile et de couleurs". Pour lui, peindre n'est qu'une autre manière de vivre. C'est être libre, refuser la propagande, les modes, pour vivre en résistance. C'est sentir et explorer l'existence dans toute sa matière.
Pour que quelque chose se libère, s'anime et se soulève avec dignité.