L'ouvrage des sens. Fenêtres étroites sur le réel
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- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- Poids0.289 kg
- Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
- ISBN2-08-211528-3
- EAN9782082115285
- Date de parution14/11/2000
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Une multitude d'influx chimiques, physiques, électromagnétiques se déverse sur notre organisme, le traverse sans que nous en ayons conscience et que nous puissions la détecter ; une grande partie nous échappe. L'information fournie par nos organes sensoriels est incomplète et incertaine ; de puissance limitée, elle ne nous donne qu'une connaissance imparfaite du réel, aussi bien dans ses aspects variés que dans ses extrêmes, l'immense et l'infime.
Elle ne nous révèle que les objets et les êtres qui sont à notre mesure ; nous les appelons grands ou petits, cela est relatif puisque c'est par rapport à nous. La traduction du monde extérieur proposée par nos sens et qu'intègre notre cerveau est une version parmi d'autres ; il en existe presque autant qu'il y a d'espèces animales. Certaines espèces ont non seulement des sens classiques plus perfectionnés que les nôtres, mais elles en possèdent qui nous sont inconnus.
L'insecte évolue dans un champ de forces qui nous est étranger. Le serpent à sonnettes suit les déplacements de ses proies dans l'obscurité complète grâce à un organe sensible à la chaleur ; il "voit" avec sa peau. La chauve-souris construit des images exactes de son environnement, obstacles ou proies, en émettant des sons de haute fréquence et en enregistrant les échos en retour ; elle "voit" avec ses oreilles.
Le monde sensoriel de l'abeille n'est pas celui de la grenouille, pas plus que celui du chien... La première partie de l'ouvrage décrit l'histoire phylogénétique de chacun des appareils sensoriels, leur structure et leur pouvoir d'appréhension de la réalité. La deuxième partie est consacrée aux centres sensoriels du cerveau qui perçoivent, sélectionnent, complètent, corrigent parfois, l'information reçue.
Elle ne nous révèle que les objets et les êtres qui sont à notre mesure ; nous les appelons grands ou petits, cela est relatif puisque c'est par rapport à nous. La traduction du monde extérieur proposée par nos sens et qu'intègre notre cerveau est une version parmi d'autres ; il en existe presque autant qu'il y a d'espèces animales. Certaines espèces ont non seulement des sens classiques plus perfectionnés que les nôtres, mais elles en possèdent qui nous sont inconnus.
L'insecte évolue dans un champ de forces qui nous est étranger. Le serpent à sonnettes suit les déplacements de ses proies dans l'obscurité complète grâce à un organe sensible à la chaleur ; il "voit" avec sa peau. La chauve-souris construit des images exactes de son environnement, obstacles ou proies, en émettant des sons de haute fréquence et en enregistrant les échos en retour ; elle "voit" avec ses oreilles.
Le monde sensoriel de l'abeille n'est pas celui de la grenouille, pas plus que celui du chien... La première partie de l'ouvrage décrit l'histoire phylogénétique de chacun des appareils sensoriels, leur structure et leur pouvoir d'appréhension de la réalité. La deuxième partie est consacrée aux centres sensoriels du cerveau qui perçoivent, sélectionnent, complètent, corrigent parfois, l'information reçue.
Une multitude d'influx chimiques, physiques, électromagnétiques se déverse sur notre organisme, le traverse sans que nous en ayons conscience et que nous puissions la détecter ; une grande partie nous échappe. L'information fournie par nos organes sensoriels est incomplète et incertaine ; de puissance limitée, elle ne nous donne qu'une connaissance imparfaite du réel, aussi bien dans ses aspects variés que dans ses extrêmes, l'immense et l'infime.
Elle ne nous révèle que les objets et les êtres qui sont à notre mesure ; nous les appelons grands ou petits, cela est relatif puisque c'est par rapport à nous. La traduction du monde extérieur proposée par nos sens et qu'intègre notre cerveau est une version parmi d'autres ; il en existe presque autant qu'il y a d'espèces animales. Certaines espèces ont non seulement des sens classiques plus perfectionnés que les nôtres, mais elles en possèdent qui nous sont inconnus.
L'insecte évolue dans un champ de forces qui nous est étranger. Le serpent à sonnettes suit les déplacements de ses proies dans l'obscurité complète grâce à un organe sensible à la chaleur ; il "voit" avec sa peau. La chauve-souris construit des images exactes de son environnement, obstacles ou proies, en émettant des sons de haute fréquence et en enregistrant les échos en retour ; elle "voit" avec ses oreilles.
Le monde sensoriel de l'abeille n'est pas celui de la grenouille, pas plus que celui du chien... La première partie de l'ouvrage décrit l'histoire phylogénétique de chacun des appareils sensoriels, leur structure et leur pouvoir d'appréhension de la réalité. La deuxième partie est consacrée aux centres sensoriels du cerveau qui perçoivent, sélectionnent, complètent, corrigent parfois, l'information reçue.
Elle ne nous révèle que les objets et les êtres qui sont à notre mesure ; nous les appelons grands ou petits, cela est relatif puisque c'est par rapport à nous. La traduction du monde extérieur proposée par nos sens et qu'intègre notre cerveau est une version parmi d'autres ; il en existe presque autant qu'il y a d'espèces animales. Certaines espèces ont non seulement des sens classiques plus perfectionnés que les nôtres, mais elles en possèdent qui nous sont inconnus.
L'insecte évolue dans un champ de forces qui nous est étranger. Le serpent à sonnettes suit les déplacements de ses proies dans l'obscurité complète grâce à un organe sensible à la chaleur ; il "voit" avec sa peau. La chauve-souris construit des images exactes de son environnement, obstacles ou proies, en émettant des sons de haute fréquence et en enregistrant les échos en retour ; elle "voit" avec ses oreilles.
Le monde sensoriel de l'abeille n'est pas celui de la grenouille, pas plus que celui du chien... La première partie de l'ouvrage décrit l'histoire phylogénétique de chacun des appareils sensoriels, leur structure et leur pouvoir d'appréhension de la réalité. La deuxième partie est consacrée aux centres sensoriels du cerveau qui perçoivent, sélectionnent, complètent, corrigent parfois, l'information reçue.