Parce que nous racontons notre vie - faisant état de notre parcours tout personnel, de nos tribulations -, noirs ne pouvons pas ne pas admettre que cette vie, nous ne la dominons pas. Elle nous domine, comme elle nous a toujours dominés. Elle nous étreint, comme elle nous a toujours étreints. Elle nous abrite, comme elle l'a toujours fait. Pour autant, ne pouvons-nous en dire quelque chose ? Nous est-il impossible de la surplomber, à notre tour, pour la considérer sous notre regard ?
Parce que nous racontons notre vie - faisant état de notre parcours tout personnel, de nos tribulations -, noirs ne pouvons pas ne pas admettre que cette vie, nous ne la dominons pas. Elle nous domine, comme elle nous a toujours dominés. Elle nous étreint, comme elle nous a toujours étreints. Elle nous abrite, comme elle l'a toujours fait. Pour autant, ne pouvons-nous en dire quelque chose ? Nous est-il impossible de la surplomber, à notre tour, pour la considérer sous notre regard ?