
L'osmose des blessures
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- Nombre de pages94
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-36868-810-6
- EAN9782368688106
- Date de parution25/01/2023
- ÉditeurStellamaris
Résumé
En cette Osmose des blessures, nous avons un plain-chant de poète absolu selon la juste formule de Paul Verlaine quand il évoquait ces êtres qui trouvaient dans l'écriture le parfait porte-voix de leur douloureuse existence. Ionut Caragea est de ces oiseaux qui ont franchi la vastitude des horizons intérieurs et pour notre bonheur sait les restituer magnifiquement. Cela donne une poésie d'une pureté confondante : on l'a vu émouvante mais aussi sans concession, simple, directe, qui peut parler à tout un chacun et en même temps susciter l'interrogation suprême : vivre est-ce survivre ? Ionut Caragea, avec ce recueil, signe une oeuvre forte qui ne doit pas laisser indifférent.
L'émotion est à chaque page, à chaque poème, à chaque vers, et cependant il réussit la gageure de toujours éviter la sensiblerie. Au plus près de ces blessures, il invite à la poétique sympathie, dans le sens premier du mot, à savoir pratiquer l'osmose. N'est-ce pas également l'ambition de tout poète : partager le paysage que survole l'oiseau de son âme ? Dès lors comment résister à la fraîcheur de ce tercet de rossignol : " pendant ce temps / aimons-nous en écoutant / l'écho des ailes inlassables " ? Ainsi, dans le petit matin, le poème de Ionut en tête, je m'en vais, mantra du jour, répétant sans cesse : " l'écho des ailes inlassables ! inlassables ! " Daniel Malbranque
En cette Osmose des blessures, nous avons un plain-chant de poète absolu selon la juste formule de Paul Verlaine quand il évoquait ces êtres qui trouvaient dans l'écriture le parfait porte-voix de leur douloureuse existence. Ionut Caragea est de ces oiseaux qui ont franchi la vastitude des horizons intérieurs et pour notre bonheur sait les restituer magnifiquement. Cela donne une poésie d'une pureté confondante : on l'a vu émouvante mais aussi sans concession, simple, directe, qui peut parler à tout un chacun et en même temps susciter l'interrogation suprême : vivre est-ce survivre ? Ionut Caragea, avec ce recueil, signe une oeuvre forte qui ne doit pas laisser indifférent.
L'émotion est à chaque page, à chaque poème, à chaque vers, et cependant il réussit la gageure de toujours éviter la sensiblerie. Au plus près de ces blessures, il invite à la poétique sympathie, dans le sens premier du mot, à savoir pratiquer l'osmose. N'est-ce pas également l'ambition de tout poète : partager le paysage que survole l'oiseau de son âme ? Dès lors comment résister à la fraîcheur de ce tercet de rossignol : " pendant ce temps / aimons-nous en écoutant / l'écho des ailes inlassables " ? Ainsi, dans le petit matin, le poème de Ionut en tête, je m'en vais, mantra du jour, répétant sans cesse : " l'écho des ailes inlassables ! inlassables ! " Daniel Malbranque